Dans ton immense compassion, tu ne les as pas abandonnés au désert, et la colonne de nuée ne s’est pas écartée d’eux, elle a continué à les guider le jour sur leur chemin, et pendant la nuit, la colonne de feu n’a pas cessé d’éclairer pour eux la route qu’ils avaient à suivre. Tu leur as donné ton bon Esprit pour leur accorder du discernement. Tu ne leur as pas refusé la manne dont tu les nourrissais et tu as continué à leur donner de l’eau pour étancher leur soif.
Pendant quarante ans, tu as pourvu à leurs besoins dans le désert, et ils n’ont manqué de rien, leurs vêtements ne se sont pas usés et leurs pieds ne se sont pas enflés.