1 Rois 3:16-28
1 Rois 3:16-28 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Un jour, deux prostituées viennent se présenter devant le roi Salomon. La première dit : « Mon roi, écoute-moi, je t’en prie. Moi et cette femme, nous habitons la même maison. J’ai eu un enfant à un moment où elle était là. Trois jours après, elle aussi a eu un enfant. Nous vivons seules dans la maison : il n’y a personne d’autre que nous deux. Cette nuit, le fils de cette femme est mort, parce qu’elle s’est couchée sur lui. Alors elle s’est levée au milieu de la nuit. Pendant que je dormais, elle a pris mon fils, qui était à côté de moi, et elle l’a couché dans son lit. Puis elle a mis son fils mort à côté de moi. Ce matin, je me suis levée pour allaiter mon enfant, et je l’ai trouvé mort. Quand il a fait jour, je l’ai bien regardé, mais ce n’était pas mon fils, celui que j’ai mis au monde. » À ce moment-là, l’autre femme se met à crier : « Ce n’est pas vrai ! Mon fils, c’est celui qui est vivant ! Ton fils, c’est celui qui est mort ! » Mais la première femme répond : « Non ! Ton fils, c’est celui qui est mort ! Mon fils, c’est celui qui est vivant ! » C’est ainsi que les deux femmes se disputent devant le roi. Le roi Salomon dit alors : « L’une de vous affirme : “Mon fils, c’est celui qui est vivant. Ton fils, c’est celui qui est mort !” Et l’autre affirme : “Ton fils, c’est celui qui est mort. Mon fils, c’est celui qui est vivant !” » Puis le roi ajoute : « Apportez-moi une épée ! » On apporte l’épée. Le roi donne cet ordre : « Coupez l’enfant en deux et donnez-en la moitié à chaque femme. » La mère de l’enfant vivant est bouleversée, parce qu’elle aime beaucoup son fils. Elle dit : « Mon roi, pardon ! Donne plutôt l’enfant vivant à cette femme. Ne le tue pas ! » Mais l’autre femme dit : « Oui, coupez l’enfant en deux ! Ainsi il ne sera ni à toi ni à moi ! » Alors le roi prend la parole et dit : « Donnez l’enfant à la première des deux femmes. Oui, c’est elle qui est la mère de l’enfant vivant. » Tous les Israélites apprennent le jugement que Salomon a rendu. Ils sont remplis d’un grand respect envers le roi. En effet, ils constatent que Dieu l’a rempli de sagesse pour rendre la justice.
1 Rois 3:16-28 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Un jour, deux femmes prostituées vinrent chez le roi et se présentèrent devant lui. L’une d’elles lui dit : S’il te plaît, mon seigneur, écoute-moi : cette femme et moi nous habitons dans la même maison et j’ai donné naissance à un fils près d’elle. Trois jours après, elle a aussi mis un enfant au monde. Nous vivons seules ensemble dans cette maison, il n’y a personne d’autre avec nous et nous n’étions que toutes les deux. Or, pendant la nuit, elle s’est couchée sur son fils et l’a étouffé. Alors elle s’est levée au milieu de la nuit, elle a enlevé mon fils à mes côtés pendant que moi, je dormais, et l’a couché contre elle, puis elle a déposé son bébé mort près de moi. Le matin, je me suis levée pour allaiter mon enfant et j’ai trouvé l’enfant mort. Le jour venu, je l’ai examiné attentivement et j’ai reconnu que ce n’était pas mon fils que j’avais mis au monde. – C’est faux ! interrompit l’autre femme. C’est mon fils qui est vivant et le tien est mort ! – Pas du tout, riposta la première, c’est ton fils qui est mort et le mien qui est vivant ! Et elles continuèrent à se disputer ainsi devant le roi. Celui-ci déclara finalement : L’une dit : « C’est ici mon fils qui est vivant ; et c’est le tien qui est mort. » Mais l’autre dit : « Pas du tout, c’est ton fils qui est mort et le mien qui est vivant. » Eh bien, ajouta le roi, qu’on m’apporte une épée. On lui apporta une épée. Alors il dit : Coupez l’enfant vivant en deux et donnez-en une moitié à chacune. Alors la mère de l’enfant vivant, poussée par son amour pour son fils, s’écria : De grâce, mon seigneur, qu’on lui donne le bébé vivant, qu’on ne le fasse pas mourir ! Mais l’autre dit : Non, coupez-le en deux. Ainsi il ne sera ni à moi ni à elle. Alors le roi prononça son jugement et dit : Ne tuez pas l’enfant ! Donnez-le à la première des deux femmes. C’est elle sa vraie mère. Tout Israël apprit le jugement que le roi avait prononcé et tous furent remplis de crainte à son égard, car ils comprirent qu’il avait reçu la sagesse de Dieu pour rendre la justice.
1 Rois 3:16-28 Bible J.N. Darby (JND)
Alors deux femmes prostituées vinrent vers le roi, et se tinrent devant lui. Et la première femme dit : Ah, mon seigneur ! moi et cette femme nous habitions la même maison, et j’accouchai, étant avec elle dans la maison. Et il arriva, le troisième jour après que j’eus accouché, que cette femme aussi accoucha. Et nous étions ensemble ; aucun étranger n’était avec nous dans la maison, il n’y avait que nous deux dans la maison. Et le fils de cette femme mourut dans la nuit, parce qu’elle s’était couchée sur lui. Et elle se leva au milieu de la nuit, et prit mon fils d’à côté de moi, pendant que ta servante dormait, et le coucha dans son sein ; et son fils, qui était mort, elle le coucha dans mon sein. Et je me levai le matin pour donner à téter à mon fils, et voici, il était mort ; et je le considérai au matin, et voici, ce n’était pas mon fils que j’avais enfanté. Et l’autre femme dit : Non, car mon fils est celui qui vit, et ton fils est celui qui est mort. Et celle-là disait : Non, car ton fils est celui qui est mort, et mon fils est celui qui vit. Elles parlaient ainsi devant le roi. Et le roi dit : Celle-ci dit : Celui-ci est mon fils, qui vit, et ton fils, c’est celui qui est mort ; et celle-là dit : Non, car c’est ton fils qui est mort, et mon fils est celui qui vit. Et le roi dit : Apportez-moi une épée. Et on apporta l’épée devant le roi. Et le roi dit : Coupez en deux l’enfant qui vit, et donnez la moitié à l’une, et la moitié à l’autre. Et la femme à qui était l’enfant vivant parla au roi, car ses entrailles étaient tout émues pour son fils, et elle dit : Ah, mon seigneur ! donnez-lui l’enfant vivant, et ne le tuez point. Et l’autre dit : Qu’il ne soit ni à moi, ni à toi ; coupez-le en deux ! Et le roi répondit et dit : Donnez à celle-là l’enfant qui vit, et ne le tuez point : c’est elle qui est sa mère. Et tout Israël entendit parler du jugement que le roi avait prononcé ; et ils craignirent le roi, car ils voyaient que la sagesse de DIEU était en lui pour faire justice.
1 Rois 3:16-28 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Alors deux femmes prostituées vinrent chez le roi, et se présentèrent devant lui. L'une des femmes dit: Pardon! mon seigneur, moi et cette femme nous demeurions dans la même maison, et j'ai accouché près d'elle dans la maison. Trois jours après, cette femme a aussi accouché. Nous habitions ensemble, aucun étranger n'était avec nous dans la maison, il n'y avait que nous deux. Le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu'elle s'était couchée sur lui. Elle s'est levée au milieu de la nuit, elle a pris mon fils à mes côtés tandis que ta servante dormait, et elle l'a couché dans son sein; et son fils qui était mort, elle l'a couché dans mon sein. Le matin, je me suis levée pour allaiter mon fils; et voici, il était mort. Je l'ai regardé attentivement le matin; et voici, ce n'était pas mon fils que j'avais enfanté. L'autre femme dit: Au contraire! c'est mon fils qui est vivant, et c'est ton fils qui est mort. Mais la première répliqua: Nullement! C'est ton fils qui est mort, et c'est mon fils qui est vivant. C'est ainsi qu'elles parlèrent devant le roi. Le roi dit: L'une dit: C'est mon fils qui est vivant, et c'est ton fils qui est mort; et l'autre dit: Nullement! c'est ton fils qui est mort, et c'est mon fils qui est vivant. Puis il ajouta: Apportez-moi une épée. On apporta une épée devant le roi. Et le roi dit: Coupez en deux l'enfant qui vit, et donnez-en la moitié à l'une et la moitié à l'autre. Alors la femme dont le fils était vivant sentit ses entrailles s'émouvoir pour son fils, et elle dit au roi: Ah! mon seigneur, donnez-lui l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l'autre dit: Il ne sera ni à moi ni à toi; coupez-le! Et le roi, prenant la parole, dit: Donnez à la première l'enfant qui vit, et ne le faites point mourir. C'est elle qui est sa mère. Tout Israël apprit le jugement que le roi avait prononcé. Et l'on craignit le roi, car on vit que la sagesse de Dieu était en lui pour le diriger dans ses jugements.
1 Rois 3:16-28 Bible Segond 21 (S21)
C’est alors que deux femmes prostituées vinrent chez le roi et se présentèrent devant lui. L'une des femmes dit: «Pardon! Mon seigneur, cette femme et moi, nous habitons dans la même maison et j'ai accouché près d'elle dans la maison. Trois jours après, cette femme a aussi accouché. Nous habitons ensemble, il n’y a aucun étranger avec nous dans la maison, il n'y a que nous deux. Le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu'elle s'était couchée sur lui. Elle s'est levée au milieu de la nuit, elle a pris mon fils qui était à côté de moi pendant que moi, ta servante, je dormais et elle l'a couché contre elle. Quant à son fils, qui était mort, elle l'a couché contre moi. Ce matin, je me suis levée pour allaiter mon fils et voici qu’il était mort. Je l'ai regardé attentivement, le matin venu, et ce n'était pas mon fils, celui que j'ai mis au monde.» L'autre femme dit: «C’est faux! C'est mon fils qui est vivant et ton fils qui est mort.» Mais la première répliqua: «Absolument pas! C'est ton fils qui est mort et mon fils qui est vivant.» C'est ainsi qu'elles discutèrent devant le roi. Le roi constata: «L'une dit: ‘C'est mon fils qui est vivant et ton fils qui est mort’, et l'autre dit: ‘Absolument pas! C'est ton fils qui est mort et mon fils qui est vivant.’» Puis il ordonna: «Apportez-moi une épée.» On apporta une épée devant le roi. Le roi dit alors: «Coupez en deux l'enfant qui est en vie et donnez-en la moitié à chacune.» Alors la femme dont le fils était vivant fut remplie de compassion pour son fils et elle dit au roi: «Ah! Mon seigneur, donnez-lui l'enfant qui est en vie, ne le faites pas mourir.» Mais l'autre répliqua: «Il ne sera ni à moi ni à toi. Coupez-le!» Prenant la parole, le roi dit alors: «Donnez l'enfant qui est en vie à la première femme, ne le faites pas mourir. C'est elle qui est sa mère.» Tout Israël apprit le jugement que le roi avait prononcé et l'on éprouva de la crainte envers lui. En effet, on avait constaté qu’il bénéficiait de la sagesse de Dieu pour exercer la justice.
1 Rois 3:16-28 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Alors deux femmes prostituées vinrent chez le roi, et se présentèrent devant lui. L’une des femmes dit: Pardon! Mon seigneur, moi et cette femme nous demeurions dans la même maison, et je suis accouchée près d’elle dans la maison. Trois jours après, cette femme est aussi accouchée. Nous habitions ensemble, aucun étranger n’était avec nous dans la maison, il n’y avait que nous deux. Le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu’elle s’était couchée sur lui. Elle s’est levée au milieu de la nuit, elle a pris mon fils à mes côtés tandis que ta servante dormait, et elle l’a couché dans son sein; et son fils qui était mort, elle l’a couché dans mon sein. Le matin, je me suis levée pour allaiter mon fils; et voici, il était mort. Je l’ai regardé attentivement le matin; et voici, ce n’était pas mon fils que j’avais enfanté. L’autre femme dit: Au contraire! C’est mon fils qui est vivant, et c’est ton fils qui est mort. Mais la première répliqua: Nullement! C’est ton fils qui est mort, et c’est mon fils qui est vivant. C’est ainsi qu’elles parlèrent devant le roi. Le roi dit: L’une dit: C’est mon fils qui est vivant, et c’est ton fils qui est mort; et l’autre dit: Nullement! C’est ton fils qui est mort, et c’est mon fils qui est vivant. Puis il ajouta: Apportez-moi une épée. On apporta une épée devant le roi. Et le roi dit: Coupez en deux l’enfant qui vit, et donnez-en la moitié à l’une et la moitié à l’autre. Alors la femme dont le fils était vivant sentit ses entrailles s’émouvoir pour son fils, et elle dit au roi: Ah! Mon seigneur, donnez-lui l’enfant qui vit, et ne le faites point mourir. Mais l’autre dit: Il ne sera ni à moi ni à toi; coupez-le! Et le roi, prenant la parole, dit: Donnez à la première l’enfant qui vit, et ne le faites point mourir. C’est elle qui est sa mère. Tout Israël apprit le jugement que le roi avait prononcé. Et l’on craignit le roi, car on vit que la sagesse de Dieu était en lui pour le diriger dans ses jugements.
1 Rois 3:16-28 Bible en français courant (BFC)
Un jour, deux prostituées vinrent se présenter devant le roi Salomon. La première dit: «Que Sa Majesté veuille bien m'écouter. Moi et cette femme, nous habitons la même maison. J'ai mis au monde un fils, dans la maison, à un moment où elle était là. Deux jours plus tard, elle aussi a mis au monde un fils. Nous vivons seules dans cette maison, il n'y a personne d'autre que nous deux. Or cette nuit, le fils de cette femme est mort parce qu'elle s'était couchée sur lui. Alors elle s'est levée au milieu de la nuit, et pendant que je dormais, elle a pris mon fils qui était à côté de moi et elle l'a couché dans son lit; puis elle a placé son fils, qui était mort, à côté de moi. Ce matin, quand je me suis levée pour allaiter mon fils, je l'ai trouvé mort; je l'ai regardé attentivement à la lumière, et j'ai vu que ce n'était pas mon fils…» A ce moment, l'autre femme s'écria: «Ce n'est pas vrai! C'est mon fils qui est vivant et c'est le tien qui est mort!» Mais la première reprit: «Non! C'est ton fils qui est mort et le mien qui est vivant!» C'est ainsi qu'elles se disputaient devant le roi. Salomon prit la parole et déclara: «L'une d'entre vous dit: “L'enfant qui est vivant, c'est mon fils, et c'est ton fils qui est mort!” L'autre répond: “Non! C'est ton fils qui est mort et c'est le mien qui est vivant!” Eh bien! voici ce que j'ordonne: “Qu'on m'apporte une épée.” » Dès qu'on l'eut apportée, le roi ajouta: «Coupez l'enfant vivant en deux et donnez-en la moitié à chacune des femmes!» La mère de l'enfant vivant, poussée par son profond amour pour son fils, s'écria: «Majesté, qu'on donne plutôt l'enfant vivant à cette femme, mais surtout qu'on ne le fasse pas mourir!» Quant à l'autre femme, elle disait: «Coupez l'enfant en deux; de cette manière il ne sera ni à moi, ni à elle.» Alors le roi déclara: «Ne tuez pas l'enfant; remettez-le à la première des deux femmes, car c'est elle qui est la mère de l'enfant vivant!» Tous les Israélites apprirent comment Salomon avait rendu la justice à cette occasion, et ils furent remplis d'un profond respect envers le roi. En effet ils avaient compris que Dieu lui-même l'avait rempli de sagesse pour rendre la justice.