1 Pierre 2:10-25
1 Pierre 2:10-25 Bible Segond 21 (S21)
Vous qui autrefois n'étiez pas un peuple, vous êtes maintenant le peuple de Dieu ; vous qui n'aviez pas obtenu compassion, vous avez maintenant obtenu compassion. Bien-aimés, je vous encourage, en tant que résidents temporaires et étrangers sur la terre, à vous abstenir des désirs de votre nature propre qui font la guerre à l'âme. Ayez une bonne conduite au milieu des non-croyants, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous faisiez le mal, ils remarquent votre belle manière d’agir et rendent gloire à Dieu le jour où il interviendra. A cause du Seigneur, soumettez-vous à toutes les institutions établies parmi les hommes: soit au roi parce qu’il est au-dessus de tous, soit aux gouverneurs parce qu’ils sont envoyés par lui pour punir ceux qui font le mal et approuver ceux qui font le bien. En effet, c'est la volonté de Dieu qu'en pratiquant le bien vous réduisiez au silence l’ignorance des hommes dépourvus de bon sens. Comportez-vous en hommes libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté mais en agissant au contraire comme des serviteurs de Dieu. Respectez chacun, aimez les frères et sœurs, craignez Dieu, honorez le roi. Serviteurs, soumettez-vous avec le plus grand respect à vos maîtres, non seulement à ceux qui font preuve de bonté et de douceur, mais aussi à ceux qui ont l’esprit pervers, car c'est une grâce de supporter des difficultés en souffrant injustement pour garder bonne conscience envers Dieu. En effet, quelle gloire y a-t-il à endurer de mauvais traitements si vous commettez des fautes? Mais si vous endurez la souffrance alors que vous faites ce qui est bien, c'est une grâce aux yeux de Dieu. De fait, c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour nous, vous laissant un exemple afin que vous suiviez ses traces, lui qui n'a pas commis de péché et dans la bouche duquel on n’a pas trouvé de tromperie, lui qui insulté ne rendait pas l'insulte, maltraité ne faisait pas de menaces mais s'en remettait à celui qui juge justement, lui qui a lui-même porté nos péchés dans son corps à la croix afin que, libérés du péché, nous vivions pour la justice. C’est par ses blessures que vous avez été guéris. Vous étiez en effet comme des brebis égarées, mais maintenant vous êtes retournés vers le berger et le protecteur de votre âme.
1 Pierre 2:10-25 Bible J.N. Darby (JND)
vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, mais qui maintenant êtes le peuple de DIEU ; vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, mais qui maintenant avez obtenu miséricorde. Bien-aimés, je vous exhorte, comme forains et étrangers, à vous abstenir des convoitises charnelles, lesquelles font la guerre à l’âme, ayant une conduite honnête parmi les nations, afin que, quant aux choses dans lesquelles ils médisent de vous comme de gens qui font le mal, ils glorifient DIEU au jour de la visitation, à cause de vos bonnes œuvres qu’ils observent. Soyez donc soumis à tout ordre humain pour l’amour du Seigneur, soit au roi comme étant au-dessus de tous, soit aux gouverneurs comme à ceux qui sont envoyés de sa part pour punir ceux qui font le mal et pour louer ceux qui font le bien ; car c’est ici la volonté de DIEU, qu’en faisant le bien vous fermiez la bouche à l’ignorance des hommes dépourvus de sens, comme libres, et non comme ayant la liberté pour voile de la méchanceté, mais comme esclaves de DIEU. Honorez tous les hommes ; aimez tous les frères ; craignez DIEU ; honorez le roi. Vous, domestiques, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et doux, mais aussi à ceux qui sont fâcheux ; car c’est une chose digne de louange, si quelqu’un, par conscience envers DIEU, supporte des afflictions, souffrant injustement. Car quelle gloire y a-t-il, si, souffletés pour avoir mal fait, vous l’endurez ? mais si, en faisant le bien, vous souffrez, et que vous l’enduriez, cela est digne de louange devant DIEU, car c’est à cela que vous avez été appelés ; car aussi Christ a souffert pour vous, vous laissant un modèle, afin que vous suiviez ses traces, « lui qui n’a pas commis de péché, et dans la bouche duquel il n’a pas été trouvé de fraude » ; qui, lorsqu’on l’outrageait, ne rendait pas d’outrage, quand il souffrait, ne menaçait pas, mais se remettait à celui qui juge justement ; qui lui-même a porté nos péchés en son corps sur le bois, afin qu’étant morts aux péchés, nous vivions à la justice ; « par la meurtrissure duquel vous avez été guéris » ; car vous étiez errants comme des brebis, mais maintenant vous êtes retournés au berger et au surveillant de vos âmes.
1 Pierre 2:10-25 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Autrefois, vous n’étiez pas le peuple de Dieu, mais maintenant, vous êtes son peuple. Autrefois, Dieu n’avait pas pitié de vous, mais maintenant, il a pitié de vous. Amis très chers, vous êtes des gens de passage et des étrangers sur cette terre. C’est pourquoi je vous le demande : ne suivez pas les désirs mauvais qui luttent contre vous. Au milieu de ceux qui ne connaissent pas Dieu, ayez une belle conduite. Alors, s’ils vous accusent faussement de faire le mal, ils verront vos bonnes actions, et ainsi, le jour où Dieu viendra, ils lui rendront gloire. Obéissez aux autorités à cause du Seigneur : au roi parce qu’il est le chef de tous, et aussi aux gouverneurs. Le roi les envoie pour punir ceux qui font le mal et féliciter ceux qui font le bien. Dieu veut ceci : par vos bonnes actions, fermez la bouche aux gens stupides et ignorants. Conduisez-vous comme des personnes libres, mais votre liberté ne doit pas devenir comme une couverture pour cacher des actes mauvais. Conduisez-vous plutôt comme des serviteurs de Dieu. Ayez du respect pour tout le monde. Aimez vos frères et vos sœurs chrétiens. Honorez Dieu, respectez le roi. Vous, les serviteurs, obéissez à vos patrons avec respect. Obéissez non seulement aux patrons qui sont bons et aimables, mais aussi à ceux qui sont difficiles. Vous supportez peut-être des souffrances que vous ne méritez pas, et cela, parce que vous voulez rester fidèles à Dieu. Eh bien, c’est une belle chose. En effet, si vous avez fait le mal, quel mérite avez-vous à supporter les coups ? Mais si vous souffrez avec patience quand vous avez fait le bien, c’est une belle chose devant Dieu. Oui, c’est à cela que Dieu vous a appelés. Le Christ aussi a souffert pour vous, il vous a montré le chemin, pour que vous suiviez ses traces. Lui, il n’a pas fait le mal, il n’a jamais trompé personne. Lui, quand on l’a insulté, il n’a pas rendu l’insulte. Quand il a souffert, il n’a menacé personne, mais il a mis sa confiance en Dieu qui juge avec justice. Sur le bois de la croix, il a porté lui-même nos péchés dans son corps. C’est pourquoi nous avons cessé de vivre pour le péché et nous pouvons mener une vie qui plaît à Dieu. C’est par ses blessures qu’il vous a guéris. Oui, vous étiez comme des moutons perdus, mais maintenant, vous êtes revenus vers le berger qui protège vos vies.
1 Pierre 2:10-25 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
vous qui autrefois n'étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu, vous qui n'aviez pas obtenu miséricorde, et qui maintenant avez obtenu miséricorde. Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l'âme. Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera. Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain, soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien. Car c'est la volonté de Dieu qu'en pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et insensés, étant libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais agissant comme des serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde; aimez les frères; craignez Dieu; honorez le roi. Serviteurs, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et doux, mais aussi à ceux qui sont d'un caractère difficile. Car c'est une grâce de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement. En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c'est une grâce devant Dieu. Et c'est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, Lui qui n'a point commis de péché,Et dans la bouche duquel il ne s'est point trouvé de fraude; lui qui, injurié, ne rendait point d'injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s'en remettait à celui qui juge justement; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le berger et le gardien de vos âmes.
1 Pierre 2:10-25 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Car vous qui autrefois n’étiez pas son peuple , vous êtes maintenant le peuple de Dieu . Vous qui n’aviez pas obtenu compassion , vous avez désormais obtenu compassion . Mes chers amis, vous êtes dans ce monde comme des résidents temporaires, des étrangers ; c’est pourquoi je vous le demande : ne cédez pas aux désirs de l’homme livré à lui-même : ils font la guerre en vous. Ayez une bonne conduite au milieu des païens. Ainsi, dans les domaines mêmes où ils vous calomnient en vous accusant de faire le mal, ils verront vos bonnes actions et loueront Dieu le jour où il interviendra dans leur vie. Pour l’amour du Seigneur, soumettez-vous à vos semblables, qui sont des créatures de Dieu : au roi qui détient le pouvoir suprême, comme à ses gouverneurs chargés de punir les malfaiteurs et d’approuver les gens honnêtes. – Car voici ce que Dieu veut : c’est qu’en pratiquant le bien, vous réduisiez au silence toutes les calomnies portées contre vous par les insensés, dans leur ignorance. Vous agirez ainsi en hommes libres, sans faire pour autant de votre liberté un voile pour couvrir une mauvaise conduite, car vous êtes des serviteurs de Dieu. – Témoignez à tout homme le respect auquel il a droit, aimez vos frères et sœurs en la foi, « craignez Dieu, respectez le roi » ! Serviteurs, soumettez-vous à votre maître avec toute la crainte qui lui est due, non seulement s’il est bon et bienveillant, mais aussi s’il est dur. En effet, c’est un privilège que de supporter des souffrances imméritées, par motif de conscience envers Dieu. Quelle gloire y a-t-il, en effet, à endurer un châtiment pour avoir commis une faute ? Mais si vous endurez la souffrance tout en ayant fait le bien, c’est là un privilège devant Dieu. C’est à cela que Dieu vous a appelés, car Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, pour que vous suiviez ses traces. Il n’a commis aucun péché, ses lèvres n’avaient produit la tromperie . Injurié, il ne ripostait pas par l’injure. Quand on le faisait souffrir, il ne formulait aucune menace, mais remettait sa cause entre les mains du juste Juge. Il a pris nos péchés sur lui et les a portés dans son corps, sur la croix, afin qu’étant morts pour le péché, nous menions une vie juste. Oui, c’est par ses blessures que vous avez été guéris . Car vous étiez comme des brebis errantes mais, à présent, vous êtes retournés vers le berger qui veille sur vous.
1 Pierre 2:10-25 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
vous qui autrefois n’étiez pas un peuple, et qui maintenant êtes le peuple de Dieu, vous qui n’aviez pas obtenu miséricorde, et qui maintenant avez obtenu miséricorde. Bien-aimés, je vous exhorte, comme étrangers et voyageurs sur la terre, à vous abstenir des convoitises charnelles qui font la guerre à l’âme. Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera. Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité établie parmi les hommes, soit au roi comme souverain, soit aux gouverneurs comme envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et pour approuver les gens de bien. Car c’est la volonté de Dieu qu’en pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et insensés, étant libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté, mais agissant comme des serviteurs de Dieu. Honorez tout le monde; aimez les frères; craignez Dieu; honorez le roi. Serviteurs, soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à ceux qui sont bons et doux, mais aussi à ceux qui sont d’un caractère difficile. Car c’est une grâce que de supporter des afflictions par motif de conscience envers Dieu, quand on souffre injustement. En effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de mauvais traitements pour avoir commis des fautes? Mais si vous supportez la souffrance lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu. Et c’est à cela que vous avez été appelés, parce que Christ aussi a souffert pour vous, vous laissant un exemple, afin que vous suiviez ses traces, Lui qui n’a point commis de péché, et dans la bouche duquel il ne s’est point trouvé de fraude; lui qui, injurié, ne rendait point d’injures, maltraité, ne faisait point de menaces, mais s’en remettait à celui qui juge justement; lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. Car vous étiez comme des brebis errantes. Mais maintenant vous êtes retournés vers le pasteur et le gardien de vos âmes.
1 Pierre 2:10-25 Bible en français courant (BFC)
Autrefois, vous n'étiez pas le peuple de Dieu, mais maintenant vous êtes son peuple; autrefois, vous étiez privés de la compassion de Dieu, mais maintenant elle vous a été accordée. Je vous le demande, mes chers amis, vous qui êtes étrangers et exilés sur la terre: gardez-vous des passions humaines qui font la guerre à votre être. Ayez une bonne conduite parmi les païens; ainsi, même s'ils médisent de vous en vous traitant de malfaiteurs, ils seront obligés de reconnaître vos bonnes actions et de louer Dieu le jour où il viendra. Soyez soumis, à cause du Seigneur, à toute autorité humaine: à l'empereur, qui a le pouvoir suprême, et aux gouverneurs, envoyés par lui pour punir les malfaiteurs et féliciter ceux qui font le bien. En effet, ce que Dieu veut, c'est que vous pratiquiez le bien pour réduire au silence les hommes ignorants et déraisonnables. Conduisez-vous comme des gens libres; cependant, n'utilisez pas votre liberté comme un voile pour couvrir le mal, mais agissez en serviteurs de Dieu. Respectez tous les êtres humains, aimez vos frères en la foi, adorez Dieu, respectez l'empereur. Serviteurs, soyez soumis à vos maîtres avec un entier respect, non seulement à ceux qui sont bons et bien disposés, mais aussi à ceux qui sont pénibles. En effet, c'est un bien de supporter, par obéissance à Dieu, les peines que l'on souffre injustement. Car quel mérite y a-t-il à supporter les coups si vous les recevez pour avoir commis une faute? Mais si vous avez à souffrir après avoir bien agi et que vous le supportez, c'est un bien aux yeux de Dieu. C'est à cela qu'il vous a appelés, car le Christ lui-même a souffert pour vous; il vous a laissé un exemple afin que vous suiviez ses traces. Il n'a pas commis de péché; aucun mensonge n'est jamais sorti de sa bouche. Quand on l'a insulté, il n'a pas répondu par l'insulte; quand on l'a fait souffrir, il n'a pas formulé de menaces, mais il s'en est remis à Dieu qui juge avec justice. Dans son propre corps, il a porté nos péchés sur la croix, afin que nous mourions au péché et que nous vivions d'une vie juste. C'est par ses blessures que vous avez été guéris. Car vous étiez comme des moutons égarés, mais maintenant vous avez été ramenés à celui qui est votre berger et qui veille sur vous.