1 Samuel 18:6-8
1 Samuel 18:6-8 Bible J.N. Darby (JND)
Et il arriva que, comme ils revenaient, lors du retour de David après qu’il eut frappé le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d’Israël à la rencontre du roi Saül, avec joie, en chantant et en dansant, avec des tambourins et des triangles. Et les femmes qui jouaient s’entre-répondaient et disaient : Saül a frappé ses 1 000, et David ses 10 000. Et Saül fut très irrité, et cette parole fut mauvaise à ses yeux, et il dit : On en a donné à David 10 000, et à moi, on m’a donné les 1 000 : il n’y a plus pour lui que la royauté.
1 Samuel 18:6-8 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Quand l’armée revient, après que David a tué le Philistin Goliath, les femmes sortent de toutes les villes d’Israël. Elles viennent à la rencontre du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins, des instruments de musique, et elles crient de joie. Toutes joyeuses, elles chantent en se répondant : « Saül a battu 1 000 ennemis, David en a battu 10 000 ! » Saül est très en colère, ce chant ne lui plaît pas. Il se dit : « Quoi ? 10 000 ennemis pour David, et moi, je n’en ai que 1 000 ! Il ne lui manque plus que le pouvoir royal ! »
1 Samuel 18:6-8 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Comme ils revenaient, lors du retour de David après qu'il eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins et des triangles, et en poussant des cris de joie. Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres, et disaient:Saül a frappé ses mille,Et David ses dix mille. Saül fut très irrité, et cela lui déplut. Il dit: On en donne dix mille à David, et c'est à moi que l'on donne les mille! Il ne lui manque plus que la royauté.
1 Samuel 18:6-8 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Lorsqu’ils étaient revenus de la guerre, après que David eut tué le Philistin, les femmes étaient sorties de toutes les villes d’Israël à la rencontre du roi Saül en chantant, en dansant et en poussant des cris de joie au son de tambourins et de cymbales. Elles chantaient en chœurs alternés, tout en dansant : Saül a vaincu ses milliers et David ses dizaines de milliers. Saül le prit très mal et se mit dans une grande colère. – Elles en attribuent dix mille à David, dit-il, et à moi seulement mille ! Il ne lui manque plus que la royauté !
1 Samuel 18:6-8 Bible Segond 21 (S21)
Alors qu’ils revenaient de guerre, après que David eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d'Israël à la rencontre du roi Saül. Elles chantaient et dansaient au son des tambourins et des triangles, et elles poussaient des cris de joie. Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres en disant: «Saül a frappé ses 1000, et David ses 10'000.» Saül fut très irrité, il prit très mal la situation. Il dit: «On en donne 10'000 à David, et c'est à moi que l'on donne les 1000! Il ne lui manque plus que la royauté!»
1 Samuel 18:6-8 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Comme ils revenaient, lors du retour de David après qu’il eut tué le Philistin, les femmes sortirent de toutes les villes d’Israël au-devant du roi Saül, en chantant et en dansant, au son des tambourins et des triangles, et en poussant des cris de joie. Les femmes qui chantaient se répondaient les unes aux autres, et disaient: Saül a frappé ses mille, Et David ses dix mille. Saül fut très irrité, et cela lui déplut. Il dit: On en donne dix mille à David, et c’est à moi que l’on donne les mille! Il ne lui manque plus que la royauté.
1 Samuel 18:6-8 Bible en français courant (BFC)
Au retour de l'armée, après que David eut tué le Philistin Goliath, des femmes de toutes les villes israélites vinrent à la rencontre du roi Saül; elles chantaient et dansaient, au son des tambourins et d'autres instruments de musique, et poussaient des cris de joie. En chœurs alternés, elles proclamaient joyeusement: «Saül a battu des milliers d'ennemis, David en a battu des dizaines de milliers.» Saül fut agacé, irrité même par ce chant. Il se disait: «On lui en accorde dix fois plus qu'à moi! Pour peu, on lui donnerait encore la royauté!»