Actes 12:1-25
Actes 12:1-25 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
À ce moment-là, le roi Hérode Agrippa I er se met à faire du mal à certains membres de l’Église. Il fait tuer par des soldats Jacques, le frère de Jean. Il voit que cela plaît aux Juifs, alors il fait aussi arrêter Pierre. C’est au moment de la fête des Pains sans levain. Hérode fait donc arrêter Pierre et le met en prison. Il commande à quatre groupes de quatre soldats de le garder. Il veut le faire juger devant le peuple après la fête de la Pâque. Les soldats gardent Pierre dans la prison, mais les membres de l’Église prient sans cesse Dieu pour lui. Hérode est sur le point de faire juger Pierre devant le peuple. La nuit avant le jugement, Pierre est en train de dormir entre deux soldats. Il est attaché avec deux chaînes, et des gardiens sont devant la porte pour le surveiller. Tout à coup, l’ange du Seigneur est là, une lumière brille dans la cellule de la prison. L’ange réveille Pierre en lui touchant le côté. Il lui dit : « Lève-toi vite ! » Alors les chaînes tombent de ses mains. L’ange lui dit : « Mets ta ceinture et attache tes sandales. » Pierre obéit. L’ange lui dit : « Mets ton vêtement de dessus et suis-moi. » Pierre sort de la cellule et le suit. Il pense que tout cela n’est pas réel, il croit rêver. Pierre et l’ange passent devant le premier groupe de soldats, puis devant le deuxième groupe. Ils arrivent à une porte en fer qui donne sur la ville. La porte s’ouvre toute seule devant eux et ils sortent. Ils vont au bout de la rue, et tout à coup, l’ange quitte Pierre. Alors Pierre se rend compte de ce qui est arrivé et il dit : « Maintenant, je vois bien que c’est vrai : le Seigneur a envoyé son ange et il m’a délivré du pouvoir d’Hérode. Il m’a protégé aussi de tout le mal que le peuple juif voulait me faire. » Quand Pierre comprend cela, il va à la maison de Marie, la mère de Jean, celui qu’on appelle aussi Marc. Là, beaucoup de croyants sont réunis et ils prient. Pierre frappe à la porte d’entrée. Une servante, appelée Rhodè, vient répondre. Elle reconnaît la voix de Pierre et elle est tellement contente qu’elle ne pense pas à ouvrir la porte. Elle court annoncer aux autres : « Pierre est là, devant la porte ! » Les autres lui disent : « Tu es folle ! » Mais elle insiste : « Il est là, c’est vrai ! » Ils lui disent : « Alors, c’est son double ! » Pierre continue à frapper. Enfin, ils ouvrent la porte, ils voient Pierre et sont très étonnés. De la main, Pierre leur fait signe de se taire. Il leur raconte comment le Seigneur l’a fait sortir de prison. Il leur dit encore : « Annoncez cela à Jacques et aux autres chrétiens. » Puis il sort et s’en va ailleurs. Quand il fait jour, il y a une grande agitation parmi les soldats, ils se demandent ce que Pierre est devenu. Hérode le fait chercher partout, mais on ne le trouve pas. Alors il interroge les soldats qui le gardaient, et il commande de les faire mourir. Ensuite, Hérode quitte la Judée, il va à Césarée où il reste un certain temps. Hérode est très en colère contre les habitants de Tyr et de Sidon. Eux se mettent d’accord pour aller le voir. Pour cela, ils paient Blastus, le gardien de la chambre du roi, et ils vont demander à Hérode de faire la paix. En effet, la nourriture de Tyr et de Sidon vient du pays d’Hérode. On choisit un jour. Ce jour-là, Hérode met son vêtement de roi, il prend place sur son siège et fait un discours au peuple. Les gens répondent en criant : « Ce n’est pas un homme qui parle, c’est un dieu ! » Mais au même moment, un ange du Seigneur frappe Hérode parce que le roi a voulu pour lui-même la gloire qui appartient à Dieu. Il est mangé par les vers et il meurt. La parole de Dieu est de plus en plus connue. Barnabas et Saul ont fini leur mission au service des croyants de Jérusalem. Ils repartent et emmènent avec eux Jean, appelé aussi Marc.
Actes 12:1-25 Bible Segond 21 (S21)
A cette époque-là, le roi Hérode se mit à maltraiter des membres de l'Eglise, et il fit mourir par l'épée Jacques, le frère de Jean. Quand il vit que cela plaisait aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. – C'était pendant la fête des pains sans levain. – Après l'avoir fait arrêter et jeter en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune; il avait l'intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre était donc gardé dans la prison et l'Eglise adressait d'ardentes prières à Dieu pour lui. La nuit qui précédait le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, attaché avec deux chaînes, dormait entre deux soldats; des sentinelles postées devant la porte gardaient la prison. Soudain, un ange du Seigneur survint et une lumière resplendit dans la cellule. L'ange réveilla Pierre en le frappant au côté et lui dit: «Lève-toi vite!» Les chaînes tombèrent de ses mains. Puis l'ange lui dit: «Mets ta ceinture et tes sandales.» C’est ce qu’il fit. L'ange lui dit encore: «Mets ton manteau et suis-moi.» Pierre sortit et le suivit, sans savoir que ce que l'ange faisait était réel: il croyait avoir une vision. Ils passèrent la première garde, puis la seconde, et ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville. La porte s'ouvrit d'elle-même devant eux; ils sortirent et s'avancèrent dans une rue. Aussitôt l'ange quitta Pierre. Revenu à lui-même, Pierre dit: «Maintenant, je sais vraiment que le Seigneur a envoyé son ange et qu'il m'a délivré du pouvoir d'Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait.» Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, la mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. Il frappa à la porte d'entrée et une servante appelée Rhode s'approcha pour écouter. Elle reconnut la voix de Pierre et, dans sa joie, au lieu d'ouvrir, elle courut annoncer que Pierre se tenait devant la porte. Ils lui dirent: «Tu es folle», mais elle soutenait que c'était bien vrai. Ils dirent alors: «C'est son ange.» Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent et furent stupéfaits de le voir. De la main, il leur fit signe de se taire et il [leur] raconta comment le Seigneur l'avait tiré de la prison. Il ajouta: «Annoncez-le à Jacques et aux frères et sœurs.» Puis il sortit et s'en alla dans un autre endroit. Quand il fit jour, il y eut une grande agitation parmi les soldats: qu’était donc devenu Pierre? Hérode le fit rechercher, mais on ne le trouva pas. Il interrogea les gardes et donna l'ordre de les faire exécuter. Ensuite il quitta la Judée et descendit à Césarée pour y séjourner. Hérode était en conflit avec les Tyriens et les Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d'un commun accord et, après avoir gagné Blastus, le responsable de sa chambre, ils demandèrent la paix parce que leur région dépendait de celle du roi pour son ravitaillement. Le jour fixé, Hérode, habillé de sa tenue royale, était assis sur son trône et leur adressait publiquement un discours. Le peuple s'écria: «C'est la voix d'un dieu et non d'un être humain!» Un ange du Seigneur le frappa immédiatement parce qu'il n'avait pas donné gloire à Dieu. Il mourut rongé par des vers. Quant à la parole de Dieu, elle se propageait de plus en plus. Une fois leur mission à Jérusalem accomplie, Barnabas et Saul repartirent, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
Actes 12:1-25 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Vers le même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l’Église, et il fit mourir par l’épée Jacques, frère de Jean. Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. C’était pendant les jours des pains sans levain. Après l’avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l’intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre donc était gardé dans la prison; et l’Église ne cessait d’adresser pour lui des prières à Dieu. La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats; et des sentinelles devant la porte gardaient la prison. Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière brilla dans la prison. L’ange réveilla Pierre, en le frappant au côté, et en disant: Lève-toi promptement! Les chaînes tombèrent de ses mains. Et l’ange lui dit: Mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L’ange lui dit encore: Enveloppe-toi de ton manteau, et suis-moi. Pierre sortit, et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l’ange fût réel, et s’imaginant avoir une vision. Lorsqu’ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s’ouvrit d’elle-même devant eux; ils sortirent, et s’avancèrent dans une rue. Aussitôt l’ange quitta Pierre. Revenu à lui-même, Pierre dit: Je vois maintenant d’une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu’il m’a délivré de la main d’Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait. Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s’approcha pour écouter. Elle reconnut la voix de Pierre; et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir, elle courut annoncer que Pierre était devant la porte. Ils lui dirent: Tu es folle. Mais elle affirma que la chose était ainsi. Et ils dirent: C’est son ange. Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, et furent étonnés de le voir. Pierre, leur ayant de la main fait signe de se taire, leur raconta comment le Seigneur l’avait tiré de la prison, et il dit: Annoncez-le à Jacques et aux frères. Puis il sortit, et s’en alla dans un autre lieu. Quand il fit jour, les soldats furent dans une grande agitation, pour savoir ce que Pierre était devenu. Hérode, s’étant mis à sa recherche et ne l’ayant pas trouvé, interrogea les gardes, et donna l’ordre de les mener au supplice. Ensuite il descendit de la Judée à Césarée, pour y séjourner. Hérode avait des dispositions hostiles à l’égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d’un commun accord; et, après avoir gagné Blaste, son chambellan, ils sollicitèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. A un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement. Le peuple s’écria: Voix d’un dieu, et non d’un homme! Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers. Cependant la parole de Dieu se répandait de plus en plus, et le nombre des disciples augmentait. Barnabas et Saul, après s’être acquittés de leur message, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
Actes 12:1-25 Bible J.N. Darby (JND)
Or vers ce temps-là, le roi Hérode mit les mains sur quelques-uns de ceux de l’assemblée pour les maltraiter, et il fit mourir par l’épée Jacques, le frère de Jean. Et voyant que cela était agréable aux Juifs, il continua, en faisant prendre aussi Pierre ; (or c’étaient les jours des pains sans levain ;) et quand il l’eut fait prendre, il le mit en prison, et le livra à quatre bandes de quatre soldats chacune pour le garder, voulant, après la Pâque, le produire devant le peuple. Pierre donc était gardé dans la prison ; mais l’assemblée faisait d’instantes prières à DIEU pour lui. Mais lorsque Hérode allait le produire, cette nuit-là, Pierre dormait entre deux soldats, lié de deux chaînes ; et des gardes, devant la porte, gardaient la prison. Et voici, un ange du ✶Seigneur survint, et une lumière resplendit dans la prison ; et frappant le côté de Pierre, il le réveilla, disant : Lève-toi promptement. Et les chaînes tombèrent de ses mains. Et l’ange lui dit : Ceins-toi et chausse tes sandales. Et il fit ainsi. Et il lui dit : Jette ton vêtement sur toi et suis-moi. Et sortant, il le suivit ; et il ne savait pas que ce qui se faisait par l’ange était réel, mais il croyait voir une vision. Et ayant passé la première et la seconde garde, ils vinrent à la porte de fer qui conduit à la ville, et elle s’ouvrit à eux d’elle-même ; et, étant sortis, ils allèrent jusqu’au bout d’une rue ; et aussitôt l’ange se retira d’avec lui. Et Pierre, étant revenu à lui, dit : Je connais à présent certainement que le Seigneur a envoyé son ange, et m’a délivré de la main d’Hérode et de toute l’attente du peuple des Juifs. Et s’étant reconnu, il se rendit à la maison de Marie, mère de Jean surnommé Marc, où plusieurs étaient assemblés et priaient. Et comme il heurtait à la porte du vestibule, une servante nommée Rhode vint pour écouter ; et reconnaissant la voix de Pierre, de joie elle n’ouvrit point le vestibule ; mais étant rentrée en courant, elle rapporta que Pierre se tenait devant le vestibule. Et ils lui dirent : Tu es folle. Mais elle affirmait qu’il en était ainsi. Et ils disaient : C’est son ange. Mais Pierre continuait à heurter ; et quand ils eurent ouvert, ils le virent et furent hors d’eux. Et leur ayant fait signe de la main de se taire, il leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de la prison ; et il dit : Rapportez ces choses à Jacques et aux frères. Et sortant, il s’en alla en un autre lieu. Mais le jour étant venu, il y eut un grand trouble parmi les soldats au sujet de ce que Pierre était donc devenu. Et Hérode, l’ayant cherché et ne l’ayant pas trouvé, fit subir un interrogatoire aux gardes et donna ordre qu’ils soient emmenés au supplice. Et descendant de la Judée à Césarée, il y séjourna. Or il était très irrité contre les Tyriens et les Sidoniens ; mais ils vinrent à lui d’un commun accord, et ayant gagné Blaste le chambellan du roi, ils demandèrent la paix, parce que leur pays était nourri par celui du roi. Et, à un jour marqué, Hérode, revêtu d’une robe royale et assis sur une estrade, les haranguait. Et le peuple s’écriait : Voix d’un dieu et non pas d’un homme ! Et à l’instant un ange du ✶Seigneur le frappa, parce qu’il n’avait pas donné la gloire à DIEU ; et, étant rongé par les vers, il expira. Mais la parole de DIEU croissait et se multipliait. Et Barnabas et Saul, ayant accompli leur service, s’en retournèrent de Jérusalem, emmenant aussi avec eux Jean qui était surnommé Marc.
Actes 12:1-25 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Vers le même temps, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l'Eglise, et il fit mourir par l'épée Jacques, frère de Jean. Voyant que cela était agréable aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre. C'était pendant les jours des pains sans levain. Après l'avoir saisi et jeté en prison, il le mit sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune, avec l'intention de le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre donc était gardé dans la prison; et l'Eglise ne cessait d'adresser pour lui des prières à Dieu. La nuit qui précéda le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, lié de deux chaînes, dormait entre deux soldats; et des sentinelles devant la porte gardaient la prison. Et voici, un ange du Seigneur survint, et une lumière brilla dans la prison. L'ange réveilla Pierre, en le frappant au côté, et en disant: Lève-toi promptement! Les chaînes tombèrent de ses mains. Et l'ange lui dit: Mets ta ceinture et tes sandales. Et il fit ainsi. L'ange lui dit encore: Enveloppe-toi de ton manteau, et suis-moi. Pierre sortit, et le suivit, ne sachant pas que ce qui se faisait par l'ange était réel, et s'imaginant avoir une vision. Lorsqu'ils eurent passé la première garde, puis la seconde, ils arrivèrent à la porte de fer qui mène à la ville, et qui s'ouvrit d'elle-même devant eux; ils sortirent, et s'avancèrent dans une rue. Aussitôt l'ange quitta Pierre. Revenu à lui-même, Pierre dit: Je vois maintenant d'une manière certaine que le Seigneur a envoyé son ange, et qu'il m'a délivré de la main d'Hérode et de tout ce que le peuple juif attendait. Après avoir réfléchi, il se dirigea vers la maison de Marie, mère de Jean, surnommé Marc, où beaucoup de personnes étaient réunies et priaient. Il frappa à la porte du vestibule, et une servante, nommée Rhode, s'approcha pour écouter. Elle reconnut la voix de Pierre; et, dans sa joie, au lieu d'ouvrir, elle courut annoncer que Pierre était devant la porte. Ils lui dirent: Tu es folle. Mais elle affirma que la chose était ainsi. Et ils dirent: C'est son ange. Cependant Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, et furent étonnés de le voir. Pierre, leur ayant de la main fait signe de se taire, leur raconta comment le Seigneur l'avait tiré de la prison, et il dit: Annoncez-le à Jacques et aux frères. Puis il sortit, et s'en alla dans un autre lieu. Quand il fit jour, les soldats furent dans une grande agitation, pour savoir ce que Pierre était devenu. Hérode, s'étant mis à sa recherche et ne l'ayant pas trouvé, interrogea les gardes, et donna l'ordre de les mener au supplice. Ensuite il descendit de la Judée à Césarée, pour y séjourner. Hérode avait des dispositions hostiles à l'égard des Tyriens et des Sidoniens. Mais ils vinrent le trouver d'un commun accord; et, après avoir gagné Blaste, son chambellan, ils sollicitèrent la paix, parce que leur pays tirait sa subsistance de celui du roi. A un jour fixé, Hérode, revêtu de ses habits royaux, et assis sur son trône, les harangua publiquement. Le peuple s'écria: Voix d'un dieu, et non d'un homme! Au même instant, un ange du Seigneur le frappa, parce qu'il n'avait pas donné gloire à Dieu. Et il expira, rongé des vers. Cependant la parole de Dieu se répandait de plus en plus, et le nombre des disciples augmentait. Barnabas et Saul, après s'être acquittés de leur message, s'en retournèrent de Jérusalem, emmenant avec eux Jean, surnommé Marc.
Actes 12:1-25 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Vers la même époque, le roi Hérode se mit à maltraiter quelques membres de l’Eglise. Il fit tuer par l’épée Jacques, le frère de Jean. Quand il s’aperçut que cela plaisait aux Juifs, il fit aussi arrêter Pierre. C’était pendant les jours des « Pains sans levain ». Lorsqu’on eut arrêté Pierre, il le fit mettre en prison et le plaça sous la garde de quatre escouades de quatre soldats chacune. Il voulait le faire comparaître devant le peuple après la Pâque. Pierre était donc sous bonne garde dans la prison. Mais l’Eglise priait ardemment Dieu en sa faveur. Or, la nuit qui précédait le jour où Hérode allait le faire comparaître, Pierre, attaché par deux chaînes, dormait entre deux soldats, et devant la porte de la prison, des sentinelles montaient la garde. Tout à coup, un ange du Seigneur apparut, et la cellule fut inondée de lumière. L’ange toucha Pierre au côté pour le réveiller : Lève-toi vite ! lui dit-il. Au même instant, les chaînes lui tombèrent des poignets. – Allons, poursuivit l’ange, mets ta ceinture et attache tes sandales ! Pierre obéit. – Maintenant, ajouta l’ange, mets ton manteau et suis-moi. Pierre le suivit et sortit, sans se rendre compte que tout ce que l’ange faisait était réel : il croyait avoir une vision. Ils passèrent ainsi devant le premier poste de garde, puis devant le second et arrivèrent devant la porte de fer qui donnait sur la ville. Celle-ci s’ouvrit toute seule. Ils sortirent et s’avancèrent dans une rue. Et soudain, l’ange le quitta. Alors seulement, Pierre reprit ses esprits et se dit : « Ah, maintenant je le vois bien, c’est vrai : le Seigneur a envoyé son ange et m’a délivré des mains d’Hérode et de tout le mal que voulait me faire le peuple juif. » Après réflexion, il se rendit à la maison de Marie, la mère de Jean appelé aussi Marc. Un assez grand nombre de frères s’y étaient réunis pour prier. Il frappa au battant de la porte. Une jeune servante, appelée Rhode, s’approcha et demanda qui était là. Elle reconnut la voix de Pierre et, dans sa joie, au lieu d’ouvrir, elle se précipita pour annoncer : C’est Pierre ! Il est là, dehors, devant la porte. – Tu es folle, lui dirent-ils. Mais elle n’en démordait pas. – Alors, c’est son ange, dirent-ils. Pendant ce temps, Pierre continuait à frapper. Ils ouvrirent, le virent et en restèrent tout étonnés. D’un geste de la main, Pierre leur fit signe de se taire, et il leur raconta comment le Seigneur l’avait fait sortir de prison. Il ajouta : Faites savoir tout cela à Jacques et aux autres frères. Ensuite, il repartit et se rendit ailleurs. Quand le jour se leva, il y eut un grand émoi parmi les soldats : Où donc était passé Pierre ? Hérode le fit rechercher, mais on ne le trouva nulle part. Alors, après avoir fait interroger les gardes, il ordonna leur exécution. Ensuite, il quitta la Judée pour se rendre à Césarée où il passa quelque temps. Or, Hérode était en conflit avec les habitants de Tyr et de Sidon. Ceux-ci décidèrent ensemble de lui envoyer une délégation. Après s’être assuré l’appui de Blastus, son conseiller, ils demandèrent la paix, car leur pays était économiquement dépendant de celui du roi. Au jour fixé, Hérode, revêtu de ses vêtements royaux, prit place sur son trône et leur adressa un discours en public. Le peuple se mit à crier : Ce n’est plus un homme qui parle. C’est la voix d’un dieu. Au même instant, un ange du Seigneur vint le frapper parce qu’il n’avait pas rendu à Dieu l’honneur qui lui est dû. Dévoré par les vers, il expira. Mais la Parole de Dieu se répandait toujours plus. Barnabas et Saul, après avoir rempli leur mission en faveur des croyants de Jérusalem, partirent en emmenant avec eux Jean surnommé Marc.
Actes 12:1-25 Bible en français courant (BFC)
En ce temps-là, le roi Hérode se mit à persécuter quelques-uns des membres de l'Église. Il fit mourir par l'épée Jacques, le frère de Jean. Puis, quand il vit que cela plaisait aux Juifs, il fit encore arrêter Pierre, au moment de la fête des pains sans levain. Hérode le fit donc saisir et jeter en prison, et il chargea quatre groupes de quatre soldats de le garder. Il pensait le faire juger en public après la Pâque. Pierre était donc gardé dans la prison, mais les membres de l'Église priaient Dieu pour lui avec ardeur. Durant la nuit, alors qu'Hérode était sur le point de le faire juger en public, Pierre dormait entre deux soldats. Il était ligoté avec deux chaînes et des gardiens étaient à leur poste devant la porte de la prison. Soudain, un ange du Seigneur apparut et la cellule resplendit de lumière. L'ange toucha Pierre au côté, le réveilla et lui dit: «Lève-toi vite!» Les chaînes tombèrent alors de ses mains. Puis l'ange lui dit: «Mets ta ceinture et attache tes sandales.» Pierre lui obéit et l'ange ajouta: «Mets ton manteau et suis-moi.» Pierre sortit de la prison en suivant l'ange. Il ne pensait pas que ce que l'ange faisait était réel: il croyait avoir une vision. Ils passèrent le premier poste de garde, puis le second et arrivèrent à la porte de fer qui donne sur la ville. Cette porte s'ouvrit d'elle-même devant eux et ils sortirent. Ils s'avancèrent dans une rue et, tout à coup, l'ange quitta Pierre. Alors Pierre se rendit compte de ce qui était arrivé et dit: «Maintenant, je vois bien que c'est vrai: le Seigneur a envoyé son ange, il m'a délivré du pouvoir d'Hérode et de tout le mal que le peuple juif me souhaitait.» Quand il eut compris la situation, il se rendit à la maison de Marie, la mère de Jean surnommé Marc. De nombreuses personnes s'y étaient réunies pour prier. Pierre frappa à la porte d'entrée et une servante, nommée Rhode, s'approcha pour ouvrir. Elle reconnut la voix de Pierre et en fut si joyeuse que, au lieu d'ouvrir la porte, elle courut à l'intérieur annoncer que Pierre se trouvait dehors. Ils lui dirent: «Tu es folle!» Mais elle assurait que c'était bien vrai. Ils dirent alors: «C'est son ange.» Cependant, Pierre continuait à frapper. Quand ils ouvrirent enfin la porte, ils le virent et furent stupéfaits. De la main, il leur fit signe de se taire et leur raconta comment le Seigneur l'avait conduit hors de la prison. Il dit encore: «Annoncez-le à Jacques et aux autres frères.» Puis il sortit et s'en alla ailleurs. Quand il fit jour, il y eut une grande agitation parmi les soldats: ils se demandaient ce que Pierre était devenu. Hérode le fit rechercher, mais on ne le trouva pas. Il fit interroger les gardes et donna l'ordre de les exécuter. Ensuite, il se rendit de Judée à Césarée où il resta un certain temps. Hérode était très irrité contre les habitants de Tyr et de Sidon. Ceux-ci se mirent d'accord pour se présenter devant lui. Ils gagnèrent à leur cause Blastus, l'officier de la chambre du roi; puis ils allèrent demander à Hérode de faire la paix, car leur pays s'approvisionnait dans celui du roi. Au jour fixé, Hérode mit son vêtement royal, s'assit sur son trône et leur adressa publiquement un discours. Le peuple s'écria: «C'est un dieu qui parle et non pas un homme!» Mais, au même moment, un ange du Seigneur frappa Hérode, parce qu'il s'était réservé l'honneur dû à Dieu: il fut rongé par les vers et mourut. Or, la parole de Dieu se répandait de plus en plus. Quant à Barnabas et Saul, après avoir achevé leur mission à Jérusalem, ils s'en retournèrent et emmenèrent avec eux Jean surnommé Marc.