Actes 28:1-10
Actes 28:1-10 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Après cela, nous apprenons que l’île s’appelle Malte. Ses habitants sont très bons pour nous. Ils allument un grand feu et ils nous accueillent tous autour du feu. En effet, la pluie s’est mise à tomber et il fait froid. Paul ramasse un tas de bois mort et il le jette dans le feu. Mais une vipère sort du tas de bois à cause de la chaleur et elle s’accroche à la main de Paul. Quand les habitants de l’île voient la vipère pendue à la main de Paul, ils se disent entre eux : « Cet homme est sûrement un assassin. Il a échappé à la mer, mais la justice de Dieu ne lui permet pas de vivre. » Alors Paul secoue la vipère dans le feu et il ne souffre pas du tout. Les autres croient que Paul va enfler ou qu’il va tomber mort tout à coup. Ils attendent longtemps, mais ils voient que rien de mal n’arrive à Paul. Alors ils changent d’avis et ils disent : « C’est un dieu ! » Près de cet endroit, il y a la propriété du principal notable de l’île. Il s’appelle Publius. Pendant trois jours, il nous reçoit et il nous loge comme des amis dans sa maison. Le père de Publius est couché, il a de la fièvre et la dysenterie. Paul va le voir, il prie en posant la main sur sa tête et il le guérit. Alors tous les autres malades de l’île viennent voir Paul, et celui-ci les guérit. Les gens nous montrent beaucoup de respect. Quand nous partons, ils nous donnent tout ce qu’il faut pour le voyage.
Actes 28:1-10 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Une fois hors de danger, nous avons appris que notre île s’appelait Malte. Les habitants, qui ne parlaient pas le grec, nous ont témoigné une bienveillance peu ordinaire. Ils ont allumé un grand feu et nous ont tous accueillis à sa chaleur, car il s’était mis à pleuvoir et il faisait froid. Paul avait ramassé une brassée de bois sec et il allait la jeter dans le feu quand la chaleur en a fait sortir une vipère qui s’est accrochée à sa main. En voyant l’animal suspendu à sa main, les habitants se disaient entre eux : Pas de doute : cet homme est un criminel ! Il a pu échapper à la mer, mais la Justice ne l’a pas laissé vivre ! Cependant, Paul avait, d’une secousse, jeté l’animal dans le feu et ne ressentait aucun mal. Tous s’attendaient à le voir enfler ou bien tomber subitement raide mort. Après une longue attente, voyant qu’il ne lui arrivait rien de fâcheux, ils ont changé d’avis et se sont mis à dire : C’est un dieu. Tout près de là se trouvait un domaine appartenant au premier personnage de l’île nommé Publius. Il nous a accueillis très aimablement et nous a offert l’hospitalité pendant trois jours. Or, son père était justement cloué au lit par la fièvre et la dysenterie. Paul s’est rendu à son chevet, a prié en lui imposant les mains, et l’a guéri. Après cela, tous les autres malades de l’île venaient le voir et ils étaient guéris, eux aussi. Cela nous a valu toutes sortes de marques d’honneur et, quand est venu le moment de reprendre la mer, on a pourvu à tous les besoins de notre voyage.
Actes 28:1-10 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Après nous être sauvés, nous reconnûmes que l’île s’appelait Malte. Les barbares nous témoignèrent une bienveillance peu commune; ils nous recueillirent tous auprès d’un grand feu, qu’ils avaient allumé parce que la pluie tombait et qu’il faisait grand froid. Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l’ayant mis au feu, une vipère en sortit par l’effet de la chaleur et s’attacha à sa main. Quand les barbares virent l’animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres: Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n’a pas voulu le laisser vivre, après qu’il a été sauvé de la mer. Paul secoua l’animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal. Ces gens s’attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu’il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d’avis et dirent que c’était un dieu. Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l’île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale. Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie; Paul, s’étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit. Là-dessus, vinrent les autres malades de l’île, et ils furent guéris. On nous rendit de grands honneurs, et, à notre départ, on nous fournit les choses dont nous avions besoin.
Actes 28:1-10 Bible J.N. Darby (JND)
Et ayant été sauvés, alors nous avons appris que l’île s’appelait Malte. Et les barbares usèrent d’une humanité peu ordinaire envers nous, car ayant allumé un feu, ils nous reçurent tous, à cause de la pluie qui tombait et à cause du froid. Et Paul ayant ramassé une quantité de branches sèches et les ayant mises sur le feu, une vipère sortit de la chaleur et s’attacha à sa main. Et quand les barbares virent la bête suspendue à sa main, ils se dirent l’un à l’autre : Assurément, cet homme est un meurtrier, puisque, après avoir été sauvé de la mer, Némésis n’a pas permis qu’il vive. Lui donc, ayant secoué la bête dans le feu, n’en souffrit aucun mal ; et ils s’attendaient à ce qu’il enflerait ou tomberait mort subitement. Mais quand ils eurent longtemps attendu et qu’ils eurent vu qu’il ne lui arrivait rien d’extraordinaire, changeant de sentiment, ils dirent que c’était un dieu. Or aux environs de ce lieu-là se trouvaient des possessions du premier de l’île, nommé Publius, qui nous reçut, et nous logea durant trois jours avec beaucoup de bonté. Et il arriva que le père de Publius était [là] couché, souffrant beaucoup de la fièvre et de la dysenterie ; et Paul, étant entré auprès de lui, pria et lui imposa les mains et le guérit. Mais ceci étant arrivé, les autres malades aussi qui se trouvaient dans l’île vinrent et furent guéris. Et ceux-ci nous firent aussi de grands honneurs, et à notre départ nous fournirent ce qui nous était nécessaire.
Actes 28:1-10 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Une fois hors de danger nous reconnûmes que l'île s'appelait Malte. Les barbares nous témoignèrent une bienveillance peu commune; ils nous recueillirent tous auprès d'un grand feu, qu'ils avaient allumé parce que la pluie tombait et qu'il faisait très froid. Paul ayant ramassé un tas de broussailles et l'ayant mis au feu, une vipère en sortit par l'effet de la chaleur et s'attacha à sa main. Quand les barbares virent l'animal suspendu à sa main, ils se dirent les uns aux autres: Assurément cet homme est un meurtrier, puisque la Justice n'a pas voulu le laisser vivre, après qu'il a été sauvé de la mer. Paul secoua l'animal dans le feu, et ne ressentit aucun mal. Ces gens s'attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement; mais, après avoir longtemps attendu, voyant qu'il ne lui arrivait aucun mal, ils changèrent d'avis et dirent que c'était un dieu. Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l'île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale. Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie; Paul, s'étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit. Là-dessus, vinrent les autres malades de l'île, et ils furent guéris. On nous rendit de grands honneurs, et, à notre départ, on nous fournit les choses dont nous avions besoin.
Actes 28:1-10 Bible Segond 21 (S21)
Une fois hors de danger, nous avons appris que l'île s'appelait Malte. Ses habitants nous ont témoigné une bienveillance peu courante; ils nous ont tous accueillis près d'un grand feu qu'ils avaient allumé, car la pluie tombait et il faisait très froid. Paul avait ramassé un tas de broussailles et il était en train de les mettre sur le feu quand, sous l'effet de la chaleur, une vipère en est sortie et s'est accrochée à sa main. Lorsque les habitants de l’île ont vu l'animal suspendu à sa main, ils se sont dit les uns aux autres: «Cet homme est certainement un meurtrier, puisque la justice n'a pas voulu le laisser vivre bien qu'il ait été sauvé de la mer.» Mais Paul a secoué l'animal dans le feu et n’a ressenti aucun mal. Ces gens s'attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement. Après avoir longtemps attendu, voyant qu'il ne lui arrivait aucun mal, ils ont changé d'avis et ont déclaré que c'était un dieu. Il y avait dans les environs des terres qui appartenaient à un dénommé Publius, principale personnalité de l'île. Il nous a accueillis et nous a logés de manière très amicale pendant trois jours. Le père de Publius était alors retenu au lit par la fièvre et la dysenterie. Paul s’est rendu vers lui, a prié, posé les mains sur lui et l’a guéri. Là-dessus, les autres malades de l'île sont venus, et ils ont été guéris. Ils nous ont rendu de grands honneurs et, à notre départ, nous ont fourni ce dont nous avions besoin.
Actes 28:1-10 Bible en français courant (BFC)
Une fois sauvés, nous avons appris que l'île s'appelait Malte. Ses habitants nous traitèrent avec une grande bienveillance: comme la pluie s'était mise à tomber et qu'il faisait froid, ils allumèrent un grand feu autour duquel ils nous accueillirent tous. Paul ramassa un tas de branches pour le jeter dans le feu, mais un serpent en sortit à cause de la chaleur et s'accrocha à sa main. Quand les habitants de l'île virent ce serpent suspendu à la main de Paul, ils se dirent les uns aux autres: «Cet homme est certainement un assassin, car la justice divine ne lui permet pas de vivre, bien qu'il ait échappé à la mer.» Mais Paul secoua le serpent dans le feu et ne ressentit aucun mal. Les autres s'attendaient à le voir enfler ou tomber mort subitement. Mais, après avoir attendu longtemps, ils constatèrent qu'il ne lui arrivait aucun mal; ils changèrent alors d'idée et dirent qu'il était un dieu. Près de cet endroit se trouvait la propriété du principal notable de l'île, un certain Publius. Celui-ci nous reçut aimablement et nous logea pendant trois jours. Le père de Publius était au lit; il avait de la fièvre et de la dysenterie. Paul alla le voir, pria, posa les mains sur lui et le guérit. Après cela, les autres malades de l'île vinrent aussi et ils furent guéris. Ils nous montrèrent toutes sortes de marques de respect et, au moment où nous embarquions, ils nous fournirent tout ce qui était nécessaire pour notre voyage.