Ésaïe 53:4-8
Ésaïe 53:4-8 Bible J.N. Darby (JND)
Certainement, lui, a porté nos langueurs, et s’est chargé de nos douleurs ; et nous, nous l’avons estimé battu, frappé de DIEU, et affligé ; mais il a été blessé pour nos transgressions, il a été meurtri pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix a été sur lui, et par ses meurtrissures nous sommes guéris. Nous avons tous été errants comme des brebis, nous nous sommes tournés chacun vers son propre chemin, et l’ÉTERNEL a fait tomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été opprimé et affligé, et il n’a pas ouvert sa bouche. Il a été amené comme un agneau à la boucherie, et a été comme une brebis muette devant ceux qui la tondent ; et il n’a pas ouvert sa bouche. Il est ôté de l’angoisse et du jugement ; et sa génération, qui la racontera ? Car il a été retranché de la terre des vivants ; à cause de la transgression de mon peuple, lui, a été frappé.
Ésaïe 53:4-8 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Pourtant, ce sont nos maladies qu’il supportait, c’est de notre souffrance qu’il s’était chargé. Et nous, nous pensions : c’est Dieu qui le punit de cette façon, c’est Dieu qui le frappe et l’abaisse. Mais il était blessé à cause de nos fautes, il était écrasé à cause de nos péchés. La punition qui nous donne la paix est tombée sur lui. Et c’est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous comme des moutons perdus, chacun suivait son propre chemin. Et le SEIGNEUR a fait retomber sur lui nos fautes à nous tous. On l’a fait souffrir, mais lui, il a accepté cela, il a gardé le silence. Comme un agneau qu’on mène à l’abattoir, comme un mouton qui ne crie pas quand on lui coupe sa laine, il a gardé le silence. On l’a arrêté, jugé, puis supprimé. Mais qui a fait attention à ce qui lui arrivait ? Oui, on l’a enlevé du monde des vivants. Il a été frappé à mort à cause des fautes de son peuple.
Ésaïe 53:4-8 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple?
Ésaïe 53:4-8 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Pourtant, en vérité, ╵c’est de nos maladies ╵qu’il s’est chargé, et ce sont nos souffrances ╵qu’il a prises sur lui, alors que nous pensions ╵que Dieu l’avait puni, frappé et humilié. Mais c’est pour nos péchés ╵qu’il a été percé, c’est pour nos fautes ╵qu’il a été brisé. Le châtiment ╵qui nous donne la paix ╵est retombé sur lui et c’est par ses blessures ╵que nous sommes guéris. Nous étions tous errants, ╵pareils à des brebis, chacun de nous allait ╵par son propre chemin : l’Eternel a fait retomber sur lui ╵les fautes de nous tous. Il était maltraité, ╵et il s’est humilié, il n’a pas dit un mot. Semblable à un agneau ╵mené à l’abattoir, tout comme la brebis muette ╵devant ceux qui la tondent, il n’a pas dit un mot. Il a été arraché à la vie ╵avec violence, ╵suite à un jugement. Et qui, parmi les gens ╵de sa génération, ╵s’est soucié de son sort, lorsqu’on l’a retranché du pays des vivants ? Il a été frappé à mort à cause des péchés ╵que mon peuple a commis.
Ésaïe 53:4-8 La Bible Segond 21 (S21)
Pourtant, *ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé. Et nous, nous l'avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié. Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes: la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et *c'est par ses blessures que nous sommes guéris. Nous étions tous comme des brebis égarées: chacun suivait sa propre voie, et l'Eternel a fait retomber sur lui nos fautes à tous. Il a été maltraité, il s'est humilié et n'a pas ouvert la bouche. *Pareil à un agneau qu'on mène à l'abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n'a pas ouvert la bouche. Il a été enlevé sous la contrainte et sous le jugement, et dans sa génération qui s'est inquiété de son sort? Qui s'est soucié de ce qu'il était exclu de la terre des vivants, frappé à cause de la révolte de mon peuple?
Ésaïe 53:4-8 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche. Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu’il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple?
Ésaïe 53:4-8 Bible en français courant (BFC)
Or il supportait les maladies qui auraient dû nous atteindre, il subissait la souffrance que nous méritions. Mais nous pensions que c'était Dieu qui le punissait ainsi, qui le frappait et l'humiliait. Pourtant il n'était blessé que du fait de nos crimes, il n'était accablé que par l'effet de nos propres torts. Il a subi notre punition, et nous sommes acquittés; il a reçu les coups, et nous sommes épargnés. Nous errions tous ça et là comme un troupeau éparpillé, c'était chacun pour soi. Mais le Seigneur lui a fait subir les conséquences de nos fautes à tous. Il s'est laissé maltraiter sans protester, sans rien dire, comme un agneau qu'on mène à l'abattoir, comme une brebis devant ceux qui la tondent. On l'a arrêté, jugé, supprimé, mais qui se souciait de son sort? Or, il était éliminé du monde des vivants, il était frappé à mort du fait des crimes de mon peuple.