Jean 11:38-44
Jean 11:38-44 Bible J.N. Darby (JND)
Jésus donc, frémissant encore en lui-même, vient au sépulcre (or c’était une grotte, et il y avait une pierre dessus). Jésus dit : Ôtez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit : Seigneur, il sent déjà, car il est [là] depuis quatre jours. Jésus lui dit : Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de DIEU ? Ils ôtèrent donc la pierre. Et Jésus leva les yeux en haut et dit : Père, je te rends grâces de ce que tu m’as entendu. Or moi je savais que tu m’entends toujours ; mais je l’ai dit à cause de la foule qui est autour de moi, afin qu’ils croient que toi, tu m’as envoyé. Et ayant dit ces choses, il cria à haute voix : Lazare, sors dehors ! Et le mort sortit, ayant les pieds et les mains liés de bandes ; et son visage était enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : Déliez-le, et laissez-le aller.
Jean 11:38-44 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
De nouveau, Jésus est bouleversé et il part vers la tombe. C’est une grotte avec une grosse pierre placée devant l’entrée. Jésus dit : « Enlevez la pierre ! » Marthe, la sœur du mort, lui dit : « Seigneur, il doit déjà sentir mauvais. Il est dans la tombe depuis quatre jours. » Mais Jésus lui répond : « Je t’ai dit : “Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu.” » On enlève donc la pierre. Jésus lève les yeux vers le ciel et il dit : « Père, je te dis merci, parce que tu m’as écouté. Tu m’écoutes toujours, je le sais. Mais je dis cela à cause des gens qui sont autour de moi. Ainsi, ils pourront croire que tu m’as envoyé. » Ensuite Jésus crie d’une voix forte : « Lazare, sors de là ! » Et Lazare sort, lui qui était mort. Il a les pieds et les mains attachés avec des bandes de tissu. Son visage est enveloppé dans un linge. Jésus dit aux gens : « Enlevez-lui tout cela et laissez-le partir. »
Jean 11:38-44 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Jésus frémissant de nouveau en lui-même, se rendit au sépulcre. C'était une grotte, et une pierre était placée devant. Jésus dit: Otez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit: Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu'il est là. Jésus lui dit: Ne t'ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu? Ils ôtèrent donc la pierre. Et Jésus leva les yeux en haut, et dit: Père, je te rends grâces de ce que tu m'as exaucé. Pour moi, je sais que tu m'exauces toujours; mais j'ai parlé à cause de la foule qui m'entoure, afin qu'ils croient que c'est toi qui m'as envoyé. Ayant dit cela, il cria d'une voix forte: Lazare, sors! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d'un linge. Jésus leur dit: Déliez-le, et laissez-le aller.
Jean 11:38-44 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Une fois de plus, Jésus fut profondément bouleversé. Il arriva au tombeau. C’était une grotte dont l’entrée était fermée par une pierre. – Enlevez la pierre, dit Jésus. Marthe, la sœur du mort, dit alors : Seigneur, il doit déjà sentir. Cela fait quatre jours qu’il est là. Jésus lui répondit : Ne t’ai-je pas dit : Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? On ôta donc la pierre. Alors Jésus, tournant son regard vers le ciel, dit : Père, tu as exaucé ma prière et je t’en remercie. Pour moi, je sais que tu m’exauces toujours, mais si je parle ainsi, c’est pour que tous ceux qui m’entourent croient que c’est toi qui m’as envoyé. Cela dit, il cria d’une voix forte : Lazare, sors de là ! Et voici que le mort sortit du tombeau : il avait les pieds et les mains entourés de bandes de lin, le visage recouvert d’un linge. Jésus dit à ceux qui étaient là : Déliez-le de ces bandes et laissez-le aller !
Jean 11:38-44 Bible Segond 21 (S21)
Jésus, de nouveau profondément indigné, se rendit au tombeau. C'était une grotte; une pierre fermait l'entrée. Jésus dit: «Enlevez la pierre.» Marthe, la sœur du mort, lui dit: «Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu'il est là.» Jésus lui dit: «Ne t'ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu?» Ils enlevèrent donc la pierre [de l’endroit où le mort avait été déposé]. Jésus leva alors les yeux et dit: «Père, je te remercie de ce que tu m'as écouté. Pour ma part, je savais que tu m'écoutes toujours, mais j'ai parlé à cause de la foule qui m'entoure, afin qu'ils croient que c'est toi qui m'as envoyé.» Après avoir dit cela, il cria d'une voix forte: «Lazare, sors!» Et le mort sortit, les pieds et les mains attachés par des bandelettes et le visage enveloppé d'un linge. Jésus leur dit: «Détachez-le et laissez-le s’en aller.»
Jean 11:38-44 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Jésus frémissant de nouveau en lui-même, se rendit au sépulcre. C’était une grotte, et une pierre était placée devant. Jésus dit: Otez la pierre. Marthe, la sœur du mort, lui dit: Seigneur, il sent déjà, car il y a quatre jours qu’il est là. Jésus lui dit: Ne t’ai-je pas dit que, si tu crois, tu verras la gloire de Dieu? Ils ôtèrent donc la pierre. Et Jésus leva les yeux en haut, et dit: Père, je te rends grâces de ce que tu m’as exaucé. Pour moi, je savais que tu m’exauces toujours; mais j’ai parlé à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. Ayant dit cela, il cria d’une voix forte: Lazare, sors! Et le mort sortit, les pieds et les mains liés de bandes, et le visage enveloppé d’un linge. Jésus leur dit: Déliez-le, et laissez-le aller.
Jean 11:38-44 Bible en français courant (BFC)
Jésus, de nouveau profondément ému, se rendit au tombeau. C'était une caverne, dont l'entrée était fermée par une grosse pierre. «Enlevez la pierre», dit Jésus. Marthe, la sœur du mort, lui dit: «Seigneur, il doit sentir mauvais, car il y a déjà quatre jours qu'il est ici.» Jésus lui répondit: «Ne te l'ai-je pas dit? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu.» On enleva donc la pierre. Jésus leva les yeux vers le ciel et dit: «Père, je te remercie de m'avoir écouté. Je sais que tu m'écoutes toujours, mais je le dis à cause de ces gens qui m'entourent, afin qu'ils croient que tu m'as envoyé.» Cela dit, il cria très fort: «Lazare, sors de là!» Le mort sortit, les pieds et les mains entourés de bandes et le visage enveloppé d'un linge. Jésus dit alors: «Déliez-le et laissez-le aller.»