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Luc 13:1-35

Luc 13:1-35 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

À ce moment-là, des gens viennent raconter ceci à Jésus : « Pilate a fait tuer des Galiléens, au moment où ils offraient des sacrifices à Dieu. » Jésus leur répond : « Qu’est-ce que vous en pensez ? Est-ce que ces Galiléens sont morts de cette façon, parce qu’ils ont commis plus de péchés que tous les autres Galiléens ? Non, mais je vous préviens : changez votre vie, sinon vous allez tous mourir comme eux ! Et ces 18 personnes que la tour de Siloé a écrasées en tombant, qu’est-ce que vous en pensez ? Est-ce qu’elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, mais je vous préviens : changez votre vie, sinon vous allez tous mourir comme ces gens-là ! » Ensuite, Jésus leur dit cette histoire : « Un homme a un figuier planté dans son champ. Il vient chercher des figues, mais il n’en trouve pas. Alors il dit à son ouvrier : “Regarde ! Depuis trois ans, je viens chercher des figues sur ce figuier et je n’en trouve pas. Coupe-le ! Ce n’est pas la peine qu’il use la terre inutilement !” L’ouvrier lui répond : “Maître, laisse-le encore cette année. Je vais creuser la terre tout autour, je vais mettre de l’engrais. De cette façon, l’année prochaine, il donnera peut-être des figues. Sinon tu le feras couper.” » Un jour de sabbat, Jésus est en train d’enseigner dans une maison de prière. Là, il y a une femme, malade depuis 18 ans, à cause d’un esprit mauvais. Elle est toujours penchée en avant et elle ne peut vraiment pas se tenir droite. Quand Jésus la voit, il l’appelle et dit à la femme : « Ta maladie est finie. » Il pose les mains sur elle. Aussitôt, la femme se tient droite et elle dit : « Gloire à Dieu ! » Mais le chef de la maison de prière est très en colère, parce que Jésus a guéri quelqu’un le jour du sabbat. Alors le chef dit à la foule : « Il y a six jours où on doit travailler. Venez donc vous faire guérir ces jours-là et non le jour du sabbat ! » Mais le Seigneur répond : « Hommes faux ! Le jour du sabbat, chacun de vous détache de la mangeoire son bœuf ou son âne pour le mener boire. Et cette femme, qui est de la famille d’Abraham, Satan l’avait attachée depuis 18 ans. Est-ce qu’il ne fallait pas la délivrer de sa maladie, le jour du sabbat ? » Pendant que Jésus dit cela, ses adversaires sont pleins de honte. Mais toute la foule est dans la joie, parce que Jésus fait des choses magnifiques. Ensuite, Jésus dit : « À quoi ressemble le Royaume de Dieu ? À quoi est-ce que je vais le comparer ? Il ressemble à ceci : Un homme a pris une graine de moutarde pour la semer dans son jardin. La graine a poussé, elle est devenue un arbre, et les oiseaux ont fait leurs nids dans ses branches. » Jésus dit encore : « À quoi est-ce que je vais comparer le Royaume de Dieu ? Il ressemble à ceci : Une femme prend de la levure et la mélange à 25 kilos de farine, et toute la pâte lève ! » Jésus va dans les villes et les villages, et il enseigne. Il marche vers Jérusalem. Quelqu’un lui demande : « Seigneur, est-ce que Dieu va sauver seulement un petit nombre de gens ? » Jésus répond à tous : « Faites des efforts pour entrer par la porte étroite. Oui, je vous le dis, beaucoup de gens essaieront d’entrer et ils ne pourront pas. « Le moment viendra où le maître de maison se lèvera et il fermera la porte. Vous, vous serez dehors. Vous vous mettrez à frapper à la porte en disant : “Maître, ouvre-nous !”, mais il vous répondra : “Je ne sais pas qui vous êtes !” Alors vous lui direz : “Nous avons mangé et bu avec toi. Tu as enseigné dans les rues de nos villes.” Mais il vous dira encore : “Je ne sais pas qui vous êtes. Allez-vous-en loin de moi, vous tous qui faites le mal !” Alors vous pleurerez et vous grincerez des dents . En effet, vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les prophètes, dans le Royaume de Dieu. Mais vous, on vous mettra dehors ! Des gens viendront de l’est, de l’ouest, du nord et du sud. Ils prendront le grand repas dans le Royaume de Dieu. Maintenant, il y a des gens qui sont les derniers : ils seront les premiers. Maintenant, il y a des gens qui sont les premiers : ils seront derniers. » À ce moment-là, quelques Pharisiens s’approchent de Jésus et ils lui disent : « Va-t’en ! Pars loin d’ici ! Hérode Antipas veut te faire mourir. » Jésus leur répond : « Allez dire de ma part à cet homme trompeur comme un renard : “Aujourd’hui et demain je chasse des esprits mauvais, je guéris des gens et, le troisième jour, je finirai ce que je fais. Mais aujourd’hui, demain et le jour suivant, je dois continuer ma route. En effet, il est impossible pour un prophète de mourir en dehors de Jérusalem.” « Habitants de Jérusalem ! Habitants de Jérusalem ! Vous faites mourir les prophètes et vous tuez ceux que Dieu vous envoie en leur jetant des pierres ! Très souvent, j’ai voulu vous rassembler, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, mais vous n’avez pas voulu. Eh bien ! Dieu va abandonner votre temple. Je vous le dis : vous ne me verrez plus, jusqu’au jour où vous direz : “Que Dieu bénisse celui qui vient en son nom !” »

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Luc 13:1-35 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

A cette époque survinrent quelques personnes qui informèrent Jésus que Pilate avait fait tuer des Galiléens pendant qu’ils offraient leurs sacrifices. Jésus leur dit : Pensez-vous que ces Galiléens ont subi un sort si cruel parce qu’ils étaient de plus grands pécheurs que tous leurs compatriotes ? Non, je vous le dis ; mais vous, si vous ne changez pas, vous périrez tous, vous aussi. Rappelez-vous ces dix-huit personnes qui ont été tuées quand la tour de Siloé s’est effondrée sur elles. Croyez-vous qu’elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem  ? Non, je vous le dis ; mais vous aussi, si vous ne changez pas, vous périrez tous. Là-dessus, il leur raconta cette parabole : Un homme avait un figuier dans sa vigne. Un jour, il voulut y cueillir des figues, mais n’en trouva pas. Il dit alors à celui qui s’occupait de sa vigne : « Voilà trois ans que je viens chercher des figues sur cet arbre, sans pouvoir en trouver. Coupe-le ; je ne vois pas pourquoi il occupe la place inutilement. » « Maître, lui répondit l’homme, laisse-le encore cette année ! Je bêcherai encore la terre tout autour et j’y mettrai du fumier ; peut-être qu’il portera du fruit à la saison prochaine. Sinon, tu le feras couper. » Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Il s’y trouvait une femme qui, depuis dix-huit ans, était sous l’emprise d’un esprit qui la rendait infirme : elle était voûtée et n’arrivait absolument pas à se redresser. Lorsque Jésus la vit, il l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité ! Il posa ses mains sur elle et, immédiatement, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le responsable de la synagogue fut fâché que Jésus ait fait cette guérison le jour du sabbat. S’adressant à la foule, il lui dit : Il y a six jours pour travailler : venez donc vous faire guérir ces jours-là, mais pas le jour du sabbat ! Le Seigneur lui répondit : Hypocrites que vous êtes ! Chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener à l’abreuvoir le jour du sabbat ? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait en son pouvoir depuis dix-huit ans, fallait-il ne pas la délivrer de sa chaîne aujourd’hui parce que c’est le jour du sabbat ? Cette réponse de Jésus remplit de confusion tous ceux qui avaient pris parti contre lui, tandis que le peuple était enthousiasmé de le voir accomplir tant d’œuvres merveilleuses. Jésus dit alors : A quoi ressemble le royaume de Dieu  ? A quoi pourrais-je le comparer ? Il ressemble à une graine de moutarde qu’un homme a prise pour la semer dans son jardin ; la graine pousse jusqu’à devenir un arbuste, et les oiseaux du ciel nichent dans ses branches. Puis il ajouta : A quoi comparerai-je encore le royaume de Dieu ? Il ressemble à du levain qu’une femme a pris pour le mélanger à une vingtaine de kilogrammes de farine. Et à la fin, toute la pâte a levé. Jésus traversait ainsi les villes et les villages ; il y enseignait, tout en se dirigeant vers Jérusalem. Quelqu’un lui demanda : Seigneur, n’y a-t-il qu’un petit nombre de gens qui seront sauvés ? Il répondit en s’adressant à tous ceux qui étaient là : Faites tous vos efforts pour entrer par la porte étroite, car nombreux sont ceux qui chercheront à entrer et n’y parviendront pas. Dès que le maître de la maison se sera levé et qu’il aura fermé la porte à clé, si vous êtes restés dehors, vous aurez beau frapper à la porte en suppliant : « Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! » il vous répondra : « Je ne sais pas d’où vous venez. » Alors vous direz : « Mais nous étions à table avec toi, nous avons mangé et bu sous tes yeux. Tu as enseigné dans nos rues… » Il vous répondra : « Je ne sais pas d’où vous venez. Allez-vous-en, vous qui commettez le mal. » C’est là qu’il y aura des pleurs et d’amers regrets, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, tandis que vous-mêmes vous en serez exclus. Des hommes viendront de l’Orient et de l’Occident, du Nord et du Midi, et prendront place à table dans le royaume de Dieu. Alors, certains de ceux qui sont les derniers seront les premiers ; et certains de ceux qui sont les premiers seront les derniers. A ce moment-là, quelques pharisiens s’approchèrent de Jésus et l’avertirent : Tu devrais quitter cette région et aller loin d’ici, car Hérode veut te faire mourir. Mais Jésus leur répondit : Allez dire de ma part à ce renard : « Aujourd’hui, je chasse des démons et je guéris des malades ; demain, je ferai de même et après-demain, j’aurai achevé ma tâche. Mais il faut que je poursuive ma route aujourd’hui, demain et après-demain, car il est impensable qu’un prophète soit mis à mort ailleurs qu’à Jérusalem  ! » Ah, Jérusalem ! Jérusalem ! Toi qui fais mourir les prophètes et qui lapides ceux que Dieu t’envoie ! Combien de fois j’ai voulu rassembler tes habitants auprès de moi comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes ! Mais vous ne l’avez pas voulu ! Eh bien, maintenant, votre maison va être livrée à l’abandon. Oui, je vous le déclare : dorénavant vous ne me verrez plus jusqu’à ce que le temps soit arrivé où vous direz: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur !

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Luc 13:1-35 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit: Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont souffert de la sorte? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu’elle a tuées, croyez-vous qu’elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Il dit aussi cette parabole: Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint pour y chercher du fruit, et il n’en trouva point. Alors il dit au vigneron: Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n’en trouve point. Coupe-le: pourquoi occupe-t-il la terre inutilement? Le vigneron lui répondit: Seigneur, laisse-le encore cette année; je creuserai tout autour, et j’y mettrai du fumier. Peut-être à l’avenir donnera-t-il du fruit; sinon, tu le couperas. Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Et voici, il y avait là une femme possédée d’un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans; elle était courbée, et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu’il la vit, Jésus lui adressa la parole, et lui dit: Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Et il lui imposa les mains. A l’instant elle se redressa, et glorifia Dieu. Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait opéré cette guérison un jour de sabbat, dit à la foule: Il y a six jours pour travailler; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. Hypocrites! lui répondit le Seigneur, est-ce que chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache pas de la crèche son bœuf ou son âne, pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d’Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat? Tandis qu’il parlait ainsi, tous ses adversaires étaient confus, et la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qu’il faisait. Il dit encore: A quoi le royaume de Dieu est-il semblable, et à quoi le comparerai-je? Il est semblable à un grain de sénevé qu’un homme a pris et jeté dans son jardin; il pousse, devient un arbre, et les oiseaux du ciel habitent dans ses branches. Il dit encore: A quoi comparerai-je le royaume de Dieu? Il est semblable à du levain qu’une femme a pris et mis dans trois mesures de farine, pour faire lever toute la pâte. Jésus traversait les villes et les villages, enseignant, et faisant route vers Jérusalem. Quelqu’un lui dit: Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés? Il leur répondit: Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite. Car, je vous le dis, beaucoup chercheront à entrer, et ne le pourront pas. Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, et que vous, étant dehors, vous commencerez à frapper à la porte, en disant: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous! Il vous répondra: Je ne sais d’où vous êtes. Alors vous vous mettrez à dire: Nous avons mangé et bu devant toi, et tu as enseigné dans nos rues. Et il répondra: Je vous le dis, je ne sais d’où vous êtes; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d’iniquité. C’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes, dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors. Il en viendra de l’orient et de l’occident, du nord et du midi; et ils se mettront à table dans le royaume de Dieu. Et voici, il y en a des derniers qui seront les premiers, et des premiers qui seront les derniers. Ce même jour, quelques pharisiens vinrent lui dire: Va-t’en, pars d’ici, car Hérode veut te tuer. Il leur répondit: Allez, et dites à ce renard: Voici, je chasse les démons et je fais des guérisons aujourd’hui et demain, et le troisième jour j’aurai fini. Mais il faut que je marche aujourd’hui, demain, et le jour suivant; car il ne convient pas qu’un prophète périsse hors de Jérusalem. Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu! Voici, votre maison vous sera laissée; mais, je vous le dis, vous ne me verrez plus, jusqu’à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!

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Luc 13:1-35 Bible J.N. Darby (JND)

Or en ce même temps, quelques-uns se trouvaient là présents, qui lui racontèrent [ce qui s’était passé] touchant les Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec leurs sacrifices. Et [Jésus], répondant, leur dit : Croyez-vous que ces Galiléens étaient plus pécheurs que tous les Galiléens, parce qu’ils ont souffert de telles choses ? Non, vous dis-je ; mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous de la même manière. Ou, ces 18 sur qui tomba la tour dans Siloé, et qu’elle tua, croyez-vous qu’ils étaient plus coupables que tous les hommes qui habitent Jérusalem ? Non, vous dis-je ; mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous pareillement. Et il disait cette parabole : Quelqu’un avait un figuier planté dans sa vigne ; et il vint y chercher du fruit, et il n’en trouva point. Et il dit au vigneron : Voici trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier, et je n’en trouve point : coupe-le ; pourquoi aussi occupe-t-il inutilement la terre ? Et répondant, il lui dit : Maître, laisse-le cette année aussi, jusqu’à ce que je l’aie déchaussé et que j’y aie mis du fumier ; et peut-être portera-t-il du fruit : sinon, après, tu le couperas. Or il enseignait dans l’une des synagogues en un jour de sabbat. Et voici, il y avait là une femme ayant un esprit d’infirmité depuis 18 ans, et elle était courbée et ne pouvait nullement se redresser. Et Jésus, la voyant, l’appela et lui dit : Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Et il posa les mains sur elle : et à l’instant elle fut redressée, et glorifiait DIEU. Et le chef de synagogue, indigné de ce que Jésus avait guéri, un jour de sabbat, répondant, dit à la foule : Il y a six jours où il faut travailler ; venez donc ces jours-là, et soyez guéris, et non pas le jour du sabbat. Le Seigneur donc lui répondit, et dit : Hypocrites ! chacun de vous ne détache-t-il pas de la crèche son bœuf ou son âne un jour de sabbat, et ne les mène-t-il pas boire ? Et celle-ci qui est fille d’Abraham, laquelle Satan avait liée, voici, il y a 18 ans, ne fallait-il pas la délier de ce lien le jour du sabbat ? Et comme il disait ces choses, tous ses adversaires furent couverts de honte ; et toute la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qui étaient faites par lui. Et il disait : À quoi est semblable le royaume de DIEU, et à quoi le comparerai-je ? Il est semblable à un grain de moutarde qu’un homme prit et jeta dans son jardin ; et il crût et devint un grand arbre, et les oiseaux du ciel demeuraient dans ses branches. Et il dit encore : À quoi comparerai-je le royaume de DIEU  ? Il est semblable à du levain qu’une femme prit, et qu’elle cacha parmi trois mesures de farine, jusqu’à ce que tout soit levé. Et il allait par les villes et par les villages, enseignant, et poursuivant son chemin vers Jérusalem. Et quelqu’un lui dit : Seigneur, ceux qui doivent être sauvés sont-ils en petit nombre ? Et il leur dit : Luttez pour entrer par la porte étroite ; car beaucoup, je vous le dis, chercheront à entrer et ne pourront pas. Dès que le maître de la maison se sera levé, et aura fermé la porte, et que vous vous serez mis à vous tenir dehors et à heurter à la porte, en disant : Seigneur, ouvre-nous ! et que, répondant, il vous dira : Je ne vous connais pas [ni ne sais] d’où vous êtes ; alors vous vous mettrez à dire : Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné dans nos rues. Et il dira : Je vous dis, je ne vous connais pas, [ni ne sais] d’où vous êtes ; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d’iniquité. Là seront les pleurs et les grincements de dents, quand vous verrez Abraham et Isaac et Jacob et tous les prophètes dans le royaume de DIEU, mais vous, jetés dehors. Et il en viendra d’orient et d’occident, et du nord et du midi ; et ils s’assiéront dans le royaume de DIEU. Et voici, il y a des derniers qui seront les premiers, et il y a des premiers qui seront les derniers. En ce même jour, des pharisiens vinrent, lui disant : Retire-toi et va-t’en d’ici ; car Hérode veut te tuer. Et il leur dit : Allez, dites à ce renard : Voici, je chasse des démons et j’accomplis des guérisons aujourd’hui et demain, et le troisième jour je suis consommé. Mais il faut que je marche aujourd’hui et demain et le jour suivant, car il ne se peut qu’un prophète périsse hors de Jérusalem. Jérusalem, Jérusalem, [la ville] qui tue les prophètes et qui lapide ceux qui lui sont envoyés, que de fois j’ai voulu rassembler tes enfants, comme une poule sa couvée sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! Voici, votre maison vous est abandonnée ; et je vous dis, que vous ne me verrez point jusqu’à ce qu’il arrive que vous disiez : Béni soit celui qui vient au nom du ✶Seigneur  !

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Luc 13:1-35 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit: Croyez-vous que ces Galiléens aient été de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles aient été plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Il dit aussi cette parabole: Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint pour y chercher du fruit, et il n'en trouva point. Alors il dit au vigneron: Voilà trois ans que je viens chercher du fruit à ce figuier, et je n'en trouve point. Coupe-le: pourquoi occupe-t-il la terre inutilement? Le vigneron lui répondit: Seigneur, laisse-le encore cette année; je creuserai tout autour, et j'y mettrai du fumier. Peut-être à l'avenir donnera-t-il du fruit; sinon, tu le couperas. Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Et voici, il y avait là une femme possédée d'un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans; elle était courbée, et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole, et lui dit: Femme, tu es délivrée de ton infirmité. Et il lui imposa les mains. A l'instant elle se redressa, et glorifia Dieu. Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait opéré cette guérison un jour de sabbat, dit à la foule: Il y a six jours pour travailler; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. Hypocrites! lui répondit le Seigneur, est-ce que chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache pas de la crèche son bœuf ou son âne, pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat? Tandis qu'il parlait ainsi, tous ses adversaires étaient confus, et la foule se réjouissait de toutes les choses glorieuses qu'il faisait. Il dit encore: A quoi le royaume de Dieu est-il semblable, et à quoi le comparerai-je? Il est semblable à un grain de sénevé qu'un homme a pris et jeté dans son jardin; il pousse, devient un arbre, et les oiseaux du ciel habitent dans ses branches. Il dit encore: A quoi comparerai-je le royaume de Dieu? Il est semblable à du levain qu'une femme a pris et mis dans trois mesures de farine, pour faire lever toute la pâte. Jésus traversait les villes et les villages, enseignant, et faisant route vers Jérusalem. Quelqu'un lui dit: Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés? Il leur répondit: Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite. Car, je vous le dis, beaucoup chercheront à entrer, et ne le pourront pas. Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, et que vous, étant dehors, vous commencerez à frapper à la porte, en disant: Seigneur, Seigneur, ouvre-nous! il vous répondra: Je ne sais d'où vous êtes. Alors vous vous mettrez à dire: Nous avons mangé et bu devant toi, et tu as enseigné dans nos rues. Et il répondra: Je vous le dis, je ne sais d'où vous êtes; retirez-vous de moi, vous tous, ouvriers d'iniquité. C'est là qu'il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes, dans le royaume de Dieu, et que vous serez jetés dehors. Il en viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi; et ils se mettront à table dans le royaume de Dieu. Et voici, il y en a des derniers qui seront les premiers, et des premiers qui seront les derniers. Ce même jour, quelques pharisiens vinrent lui dire: Va-t'en, pars d'ici, car Hérode veut te tuer. Il leur répondit: Allez, et dites à ce renard: Voici, je chasse les démons et je fais des guérisons aujourd'hui et demain, et le troisième jour j'aurai fini. Mais il faut que je marche aujourd'hui, demain, et le jour suivant; car il ne convient pas qu'un prophète périsse hors de Jérusalem. Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu! Voici, votre maison vous sera laissée [déserte]; mais, je vous le dis, vous ne me verrez plus, jusqu'à ce que vous disiez: Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!

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Luc 13:1-35 Bible Segond 21 (S21)

A ce moment-là, quelques personnes qui se trouvaient là racontèrent à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mélangé le sang avec celui de leurs sacrifices. Jésus leur répondit: «Pensez-vous que ces Galiléens étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu’ils ont subi un tel sort? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d’attitude, vous périrez tous de même. Ou bien ces 18 personnes sur qui la tour de Siloé est tombée et qu'elle a tuées, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? Non, je vous le dis. Mais si vous ne changez pas d’attitude, vous périrez tous de même.» Il dit aussi cette parabole: «Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint y chercher du fruit et il n'en trouva pas. Alors il dit au vigneron: ‘Voilà trois ans que je viens chercher du fruit sur ce figuier et je n'en trouve pas. Coupe-le: pourquoi occupe-t-il la terre inutilement?’ Le vigneron lui répondit: ‘Seigneur, laisse-le encore cette année! Je creuserai tout autour et j'y mettrai du fumier. Peut-être à l'avenir donnera-t-il du fruit; sinon, tu le couperas.’» Jésus enseignait dans une des synagogues, le jour du sabbat. Or il y avait là une femme habitée par un esprit qui la rendait infirme depuis 18 ans; elle était courbée et ne pouvait pas du tout se redresser. Lorsqu'il la vit, Jésus lui adressa la parole et lui dit: «Femme, tu es délivrée de ton infirmité.» Il posa les mains sur elle; immédiatement elle se redressa, et elle se mit à célébrer la gloire de Dieu. Mais le chef de la synagogue, indigné de ce que Jésus avait fait une guérison un jour de sabbat, dit à la foule: «Il y a six jours pour travailler, venez donc vous faire guérir ces jours-là et non pas le jour du sabbat.» Le Seigneur lui répondit en ces termes: «Hypocrites! Le jour du sabbat, chacun de vous ne détache-t-il pas son bœuf ou son âne de la mangeoire pour le mener boire? Et cette femme, qui est une fille d'Abraham et que Satan tenait attachée depuis 18 ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat?» Ces paroles remplirent de honte tous ses adversaires, et la foule entière se réjouissait de toutes les merveilles qu'il faisait. Il dit encore: «A quoi le royaume de Dieu ressemble-t-il et à quoi le comparerai-je? Il ressemble à une graine de moutarde qu'un homme a prise et plantée dans son jardin; elle pousse, devient un [grand] arbre, et les oiseaux du ciel habitent dans ses branches.» Il dit encore: «A quoi comparerai-je le royaume de Dieu? Il ressemble à du levain qu'une femme a pris et mis dans trois mesures de farine pour faire lever toute la pâte.» Jésus traversait les villes et les villages, et il enseignait en faisant route vers Jérusalem. Quelqu'un lui dit: «Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés?» Il leur répondit: «Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite. En effet, je vous le dis, beaucoup chercheront à entrer et ne le pourront pas. Quand le maître de la maison se sera levé et aura fermé la porte, vous qui êtes dehors, vous commencerez à frapper à la porte en disant: ‘Seigneur, [Seigneur,] ouvre-nous!’ Il vous répondra: ‘Je ne sais pas d'où vous êtes.’ Alors vous vous mettrez à dire: ‘Nous avons mangé et bu devant toi, et tu as enseigné dans nos rues.’ Il répondra: ‘Je vous le dis, je ne sais pas d'où vous êtes; éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l’injustice.’ C’est là qu’il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac, Jacob et tous les prophètes dans le royaume de Dieu et que vous, vous serez jetés dehors. On viendra de l'est et de l'ouest, du nord et du sud, et l’on se mettra à table dans le royaume de Dieu. Certains parmi les derniers seront les premiers, et d'autres parmi les premiers seront les derniers.» Ce même jour, des pharisiens vinrent lui dire: «Va-t'en, pars d'ici, car Hérode veut te faire mourir.» Il leur répondit: «Allez dire à ce renard: ‘Voici, je chasse les démons et je fais des guérisons aujourd'hui et demain, et le troisième jour j'aurai fini. Mais il faut que je poursuive ma route aujourd'hui, demain et le jour suivant, car il ne convient pas qu'un prophète meure ailleurs qu'à Jérusalem.’ »Jérusalem, Jérusalem, toi qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois j’ai voulu rassembler tes enfants comme une poule rassemble sa couvée sous ses ailes, et vous ne l'avez pas voulu! Voici que votre maison vous sera laissée [déserte]. Je vous le dis, vous ne me verrez plus jusqu'à ce que vienne le temps où vous direz: ‘Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur!’»

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Luc 13:1-35 Bible en français courant (BFC)

En ce temps-là, quelques personnes vinrent raconter à Jésus comment Pilate avait fait tuer des Galiléens au moment où ils offraient des sacrifices à Dieu. Jésus leur répondit: «Pensez-vous que si ces Galiléens ont été ainsi massacrés, cela signifie qu'ils étaient de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens? Non, vous dis-je; mais si vous ne changez pas de comportement, vous mourrez tous comme eux. Et ces dix-huit personnes que la tour de Siloé a écrasées en s'écroulant, pensez-vous qu'elles étaient plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem? Non, vous dis-je; mais si vous ne changez pas de comportement, vous mourrez tous comme eux.» Puis Jésus leur dit cette parabole: «Un homme avait un figuier planté dans sa vigne. Il vint y chercher des figues, mais n'en trouva pas. Il dit alors au vigneron: “Regarde: depuis trois ans je viens chercher des figues sur ce figuier et je n'en trouve pas. Coupe-le donc! Pourquoi occupe-t-il du terrain inutilement?” Mais le vigneron lui répondit: “Maître, laisse-le cette année encore; je vais creuser la terre tout autour et j'y mettrai du fumier. Ainsi, il donnera peut-être des figues l'année prochaine; sinon, tu le feras couper.” » Un jour de sabbat, Jésus enseignait dans une synagogue. Une femme malade se trouvait là: depuis dix-huit ans, un esprit mauvais la tenait courbée et elle était totalement incapable de se redresser. Quand Jésus vit cette femme, il l'appela et lui dit: «Tu es délivrée de ta maladie.» Il posa les mains sur elle et, aussitôt, elle se redressa et se mit à louer Dieu. Mais le chef de la synagogue était indigné de ce que Jésus avait accompli une guérison le jour du sabbat. Il s'adressa alors à la foule: «Il y a six jours pendant lesquels on doit travailler; venez donc vous faire guérir ces jours-là et non le jour du sabbat!» Le Seigneur lui répondit en ces mots: «Hypocrites que vous êtes! Le jour du sabbat, chacun de vous détache de la crèche son bœuf ou son âne pour le mener boire, n'est-ce pas? Et cette femme, descendante d'Abraham, que Satan a tenue liée pendant dix-huit ans, ne fallait-il pas la détacher de ses liens le jour du sabbat?» Cette réponse de Jésus remplit de honte tous ses adversaires; mais la foule entière se réjouissait de toutes les œuvres magnifiques qu'il accomplissait. Jésus dit: «A quoi le Royaume de Dieu ressemble-t-il? A quoi puis-je le comparer? Il ressemble à une graine de moutarde qu'un homme a prise et mise en terre dans son jardin: elle a poussé, elle est devenue un arbre et les oiseaux ont fait leurs nids dans ses branches.» Jésus dit encore: «A quoi puis-je comparer le Royaume de Dieu? Il ressemble au levain qu'une femme prend et mêle à une grande quantité de farine, si bien que toute la pâte lève.» Jésus traversait villes et villages et enseignait en faisant route vers Jérusalem. Quelqu'un lui demanda: «Maître, n'y a-t-il que peu de gens qui seront sauvés?» Jésus répondit: «Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite; car, je vous l'affirme, beaucoup essayeront d'entrer et ne le pourront pas. «Quand le maître de maison se sera levé et aura fermé la porte à clé, vous vous trouverez dehors, vous vous mettrez à frapper à la porte et à dire: “Maître, ouvre-nous.” Il vous répondra: “Je ne sais pas d'où vous êtes!” Alors, vous allez lui dire: “Nous avons mangé et bu avec toi, tu as enseigné dans les rues de notre ville.” Il vous dira de nouveau: “Je ne sais pas d'où vous êtes. Écartez-vous de moi, vous tous qui commettez le mal!” C'est là que vous pleurerez et grincerez des dents, quand vous verrez Abraham, Isaac, Jacob et tous les prophètes dans le Royaume de Dieu et que vous serez jetés dehors! Des hommes viendront de l'est et de l'ouest, du nord et du sud et prendront place à table dans le Royaume de Dieu. Et alors, certains de ceux qui sont maintenant les derniers seront les premiers et d'autres qui sont maintenant les premiers seront les derniers.» A ce moment-là, quelques Pharisiens s'approchèrent de Jésus et lui dirent: «Pars d'ici, va-t'en ailleurs, car Hérode veut te faire mourir.» Jésus leur répondit: «Allez dire à cette espèce de renard: “Je chasse des esprits mauvais et j'accomplis des guérisons aujourd'hui et demain, et le troisième jour j'achève mon œuvre.” Mais il faut que je continue ma route aujourd'hui, demain et le jour suivant, car il ne convient pas qu'un prophète soit mis à mort ailleurs qu'à Jérusalem. «Jérusalem, Jérusalem, toi qui mets à mort les prophètes et tues à coups de pierres ceux que Dieu t'envoie! Combien de fois ai-je désiré rassembler tes habitants auprès de moi comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, mais vous ne l'avez pas voulu! Eh bien, votre maison va être abandonnée. Je vous le déclare: vous ne me verrez plus jusqu'à ce que vienne le moment où vous direz: “Que Dieu bénisse celui qui vient au nom du Seigneur!” »

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