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Philippiens 2:1-30

Philippiens 2:1-30 Bible J.N. Darby (JND)

Si donc il y a quelque consolation en Christ, si quelque soulagement d’amour, si quelque communion de l’Esprit, si quelque tendresse et quelques compassions, rendez ma joie accomplie [en ceci] que vous ayez une même pensée, ayant un même amour, étant d’un même sentiment, pensant à une seule et même chose. [Que] rien [ne se fasse] par esprit de parti, ou par vaine gloire ; mais que, dans l’humilité, l’un estime l’autre supérieur à lui-même, chacun ne regardant pas à ce qui est à lui, mais chacun aussi à ce qui est aux autres. Qu’il y ait donc en vous cette pensée qui a été aussi dans le christ Jésus, lequel, étant en forme de DIEU, n’a pas regardé comme un objet à ravir d’être égal à DIEU, mais s’est anéanti lui-même, prenant la forme d’esclave, étant fait à la ressemblance des hommes ; et, étant trouvé en figure comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi DIEU l’a haut élevé et lui a donné un nom au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus se ploie tout genou des êtres célestes, et terrestres, et infernaux, et que toute langue confesse que Jésus Christ est Seigneur, à la gloire de DIEU le Père. Ainsi donc, mes bien-aimés, de même que vous avez toujours obéi, non seulement comme en ma présence, mais beaucoup plus maintenant en mon absence, travaillez à votre propre salut avec crainte et tremblement : car c’est DIEU qui opère en vous et le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. Faites toutes choses sans murmures et sans raisonnements, afin que vous soyez sans reproche et purs, des enfants de DIEU irréprochables, au milieu d’une génération tortue et perverse, parmi laquelle vous reluisez comme des luminaires dans le monde, présentant la parole de vie, pour ma gloire au jour de Christ, [en témoignage] que je n’ai pas couru en vain ni travaillé en vain. Mais si même je sers d’aspersion sur le sacrifice et le service de votre foi, j’en suis joyeux et je m’en réjouis avec vous tous. Pareillement, vous aussi, soyez-en joyeux et réjouissez-vous-en avec moi. Or j’espère dans le seigneur Jésus vous envoyer bientôt Timothée, afin que moi aussi j’aie bon courage quand j’aurai connu l’état de vos affaires ; car je n’ai personne qui soit animé d’un même sentiment [avec moi] pour avoir une sincère sollicitude à l’égard de ce qui vous concerne ; parce que tous cherchent leurs propres intérêts, non pas ceux de Jésus Christ. Mais vous savez qu’il a été connu à l’épreuve, [savoir] qu’il a servi avec moi dans l’évangile comme un enfant [sert] son père. J’espère donc l’envoyer incessamment, quand j’aurai vu la tournure que prendront mes affaires. Mais j’ai confiance dans le Seigneur que, moi-même aussi, j’irai [vous voir] bientôt ; mais j’ai estimé nécessaire de vous envoyer Épaphrodite mon frère, mon compagnon d’œuvre et mon compagnon d’armes, mais votre envoyé et ministre pour mes besoins. Car il pensait à vous tous avec une vive affection, et il était fort abattu parce que vous aviez entendu dire qu’il était malade ; en effet il a été malade, fort près de la mort, mais DIEU a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, afin que je n’aie pas tristesse sur tristesse. Je l’ai donc envoyé avec d’autant plus d’empressement, afin qu’en le revoyant vous ayez de la joie, et que moi j’aie moins de tristesse. Recevez-le donc dans le Seigneur avec toute sorte de joie, et honorez de tels hommes ; car, pour l’œuvre, il a été proche de la mort, ayant exposé sa vie, afin de compléter ce qui manquait à votre service envers moi.

Philippiens 2:1-30 Parole de Vie 2017 (PDV2017)

Le Christ vous rend plus forts. Son amour vous donne du courage et son Esprit vous unit. Vous êtes pleins de tendresse et de pitié les uns pour les autres. C’est vrai, n’est-ce pas ? Eh bien, remplissez-moi de joie en vous mettant d’accord. Ayez un même amour, un même cœur, une même pensée. Ne faites rien pour passer devant les autres ou pour que les autres vous admirent, cela ne vaut rien. Au contraire, soyez simples et pensez que les autres sont meilleurs que vous. Ne cherchez pas votre intérêt à vous, mais cherchez l’intérêt des autres. Entre vous, conduisez-vous comme des gens unis au Christ Jésus. Lui, il est l’égal de Dieu, parce qu’il est Dieu depuis toujours. Pourtant, cette égalité, il n’a pas cherché à la garder à tout prix pour lui. Mais tout ce qu’il avait, il l’a laissé. Il s’est fait serviteur, il est devenu comme les hommes, et tous voyaient que c’était bien un homme. Il s’est fait plus petit encore : il a obéi jusqu’à la mort, et il est mort sur une croix ! C’est pourquoi Dieu l’a placé très haut et il lui a donné le nom qui est au-dessus de tous les autres noms. Alors tous ceux qui sont dans le ciel, sur la terre et chez les morts tomberont à genoux quand ils entendront le nom de Jésus. Et tous reconnaîtront ceci : Jésus-Christ est le Seigneur, pour la gloire de Dieu le Père. C’est pourquoi, amis très chers, obéissez à Dieu comme vous l’avez toujours fait. Obéissez-lui, non seulement quand je suis là, mais encore plus maintenant que je suis absent. Avec un grand respect pour Dieu et en tremblant, travaillez pour être sauvés. Dieu travaille en vous et il vous rend capables de vouloir et de faire les actions qui lui plaisent. Faites tout sans vous plaindre et sans discuter. Ainsi vous serez innocents, on n’aura rien à vous reprocher. Vous serez des enfants de Dieu sans défaut, au milieu de gens malhonnêtes et mauvais. Parmi ces gens-là, vous brillez comme des lumières dans le monde, parce que vous apportez la parole de vie. Le jour où le Christ viendra, je pourrai être fier de vous. Et, on le verra bien : je n’aurai pas travaillé pour rien, je ne me serai pas fatigué pour rien ! Mon sang, c’est-à-dire ma vie, sera peut-être ajouté comme une offrande au sacrifice que votre foi présente à Dieu. Pourtant, cela me rend heureux, et je me réjouis avec vous tous. Vous aussi, soyez heureux et réjouissez-vous avec moi ! Le Seigneur Jésus me fait espérer que je pourrai bientôt vous envoyer Timothée. Ainsi j’aurai des nouvelles de vous, et elles me donneront du courage. En effet, à part Timothée, personne ne porte les mêmes soucis que moi, personne ne s’occupe vraiment de vous. Tous cherchent leur intérêt, et non celui de Jésus-Christ. Mais vous le savez, Timothée a montré ce qu’il valait. Il a travaillé avec moi au service de la Bonne Nouvelle, comme un fils auprès de son père. Donc, c’est lui que j’espère vous envoyer dès que je verrai clair dans ma situation. Et le Seigneur me rend sûr d’une chose : je vais bientôt venir chez vous, moi aussi. Pourtant, je pense qu’il faut vous renvoyer Épafrodite. C’est mon frère. Il travaille et combat avec moi, et vous l’avez envoyé pour me servir quand j’en avais besoin. Il désire beaucoup vous revoir tous et il est inquiet parce que vous avez appris sa maladie. Oui, il a été malade et bien près de mourir. Mais Dieu a eu pitié de lui, et pas seulement de lui, mais de moi aussi. Alors il m’a évité une tristesse encore plus grande. C’est pourquoi je me dépêche de vous le renvoyer. Ainsi, quand vous le verrez, vous serez de nouveau dans la joie, et moi, je serai moins triste. Recevez-le avec grande joie comme un frère chrétien. Respectez beaucoup les gens comme lui, parce qu’il a vu la mort de près en travaillant pour le Christ. Il a risqué sa vie pour me rendre service quand vous ne pouviez pas le faire vous-mêmes.

Philippiens 2:1-30 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)

Si donc il y a quelque consolation en Christ, s'il y a quelque soulagement dans l'amour, s'il y a quelque communion d'esprit, s'il y a quelque compassion et quelque miséricorde, rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l'humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres. Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ: existant en forme de Dieu, il n'a point regardé son égalité avec Dieu comme une proie à arracher, mais il s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et il a paru comme un vrai homme, il s'est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu'à la mort, même jusqu'à la mort de la croix. C'est pourquoi aussi Dieu l'a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu'au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, mettez en œuvre votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent; car c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irréprochables au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n'avoir pas couru en vain ni travaillé en vain. Et même si je sers de libation pour le sacrifice et pour le service de votre foi, je m'en réjouis, et je me réjouis avec vous tous. Vous aussi, réjouissez-vous de même, et réjouissez-vous avec moi. J'espère dans le Seigneur Jésus vous envoyer bientôt Timothée, afin d'être encouragé moi-même en apprenant ce qui vous concerne. Car je n'ai personne ici qui partage mes sentiments, pour prendre sincèrement à cœur votre situation; tous, en effet, cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ. Vous savez qu'il a été mis à l'épreuve, en se consacrant au service de l'Evangile avec moi, comme un enfant avec son père. J'espère donc vous l'envoyer dès que j'apercevrai l'issue de l'état où je suis; et j'ai cette confiance dans le Seigneur que moi-même aussi j'irai bientôt. J'ai estimé nécessaire de vous envoyer mon frère Epaphrodite, mon compagnon d'œuvre et de combat, par qui vous m'avez fait parvenir de quoi pourvoir à mes besoins. Car il désirait vous voir tous, et il était fort en peine de ce que vous aviez appris sa maladie. Il a été malade, en effet, et tout près de la mort; mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, afin que je n'aie pas tristesse sur tristesse. Je l'ai donc envoyé avec d'autant plus d'empressement, afin que vous vous réjouissiez de le revoir, et que je sois moi-même moins triste. Recevez-le donc dans le Seigneur avec une joie entière, et honorez de tels hommes. Car c'est pour l'œuvre de Christ qu'il a été près de la mort, ayant exposé sa vie afin de suppléer à votre absence dans le service que vous me rendiez.

Philippiens 2:1-30 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

N’avez-vous pas trouvé en Christ un réconfort, dans l’amour un encouragement, par l’Esprit une communion entre vous  ? N’avez-vous pas de l’affection et de la bonté les uns pour les autres ? Rendez donc ma joie complète : tendez à vivre en accord les uns avec les autres. Et pour cela, ayez le même amour, une même pensée, et tendez au même but. Ne faites donc rien par esprit de rivalité, ou par un vain désir de vous mettre en avant ; au contraire, par humilité, considérez les autres comme plus importants que vous-mêmes ; et que chacun regarde, non ses propres qualités, mais celles des autres. Tendez à vivre ainsi entre vous, car c’est ce qui convient quand on est uni à Jésus-Christ. Lui qui était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition d’un serviteur en se rendant semblable aux hommes : se trouvant ainsi reconnu à son aspect, comme un simple homme, il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix. C’est pourquoi Dieu l’a élevé à la plus haute place et il lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, pour qu’au nom de Jésus tout être s’agenouille dans les cieux, sur la terre et jusque sous la terre, et que chacun déclare : Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père. Mes chers amis, vous avez toujours été obéissants : faites donc fructifier votre salut, avec toute la crainte qui s’impose, non seulement quand je suis présent, mais bien plus maintenant que je suis absent. Car c’est Dieu lui-même qui agit en vous, pour produire à la fois le vouloir et le faire conformément à son projet bienveillant. Faites tout sans vous plaindre et sans discuter, pour être irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans tache au sein d’une humanité corrompue et perverse. Dans cette humanité, vous brillez comme des flambeaux dans le monde, en portant la Parole de vie. Ainsi, lorsque viendra le jour de Christ, vous serez mon titre de gloire : je n’aurai pas couru pour rien et ma peine n’aura pas été inutile. Et même si je dois m’offrir comme une libation pour accompagner le sacrifice que vous offrez à Dieu, c’est-à-dire le service de votre foi, je m’en réjouis et je me réjouis avec vous tous. Vous aussi, de la même manière, réjouissez-vous, et réjouissez-vous avec moi. J’espère, en comptant sur le Seigneur Jésus, vous envoyer bientôt Timothée pour être moi-même encouragé par les nouvelles qu’il me donnera de vous. Il n’y a personne ici, en dehors de lui, pour partager mes sentiments et se soucier sincèrement de ce qui vous concerne. Car tous ne s’intéressent qu’à leurs propres affaires et non à la cause de Jésus-Christ. Mais vous savez que Timothée a fait ses preuves : comme un enfant aux côtés de son père, il s’est consacré avec moi au service de l’Evangile. C’est donc lui que j’espère pouvoir vous envoyer dès que je verrai quelle tournure prennent les événements pour moi. Et j’ai cette confiance dans le Seigneur que je viendrai bientôt moi-même chez vous. Par ailleurs, j’ai estimé nécessaire de vous renvoyer Epaphrodite, mon frère, mon collaborateur et mon compagnon d’armes, votre délégué auquel vous avez donné la charge de subvenir à mes besoins. Il avait, en effet, un grand désir de vous revoir et il était préoccupé parce que vous avez appris qu’il était malade. Il a été malade, c’est vrai, et il a frôlé la mort, mais Dieu a eu pitié de lui, et pas seulement de lui, mais aussi de moi, pour m’éviter d’avoir peine sur peine. Je me suis donc hâté de vous le renvoyer pour que vous vous réjouissiez de le revoir : cela adoucira ma peine. Réservez-lui donc un accueil digne de votre union commune au Seigneur ; recevez-le avec une grande joie. Ayez de l’estime pour de tels hommes, car c’est en travaillant au service de Christ qu’il a failli mourir. Il a exposé sa vie pour s’acquitter, à votre place, du service que vous ne pouviez me rendre vous-mêmes.

Philippiens 2:1-30 Bible Segond 21 (S21)

S’il y a donc de l’encouragement en Christ, s'il y a de la consolation dans l'amour, s'il y a une communion de l’Esprit, s'il y a de la tendresse et de la compassion, rendez ma joie parfaite en vivant en plein accord. Ayez un même amour, un même cœur, une unité de pensée. Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir d’une gloire sans valeur, mais avec humilité considérez les autres comme supérieurs à vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de regarder à ses propres intérêts, regarde aussi à ceux des autres. Que votre attitude soit identique à celle de Jésus-Christ: lui qui est de condition divine, il n'a pas regardé son égalité avec Dieu comme un butin à préserver, mais il s'est dépouillé lui-même en prenant une condition de serviteur, en devenant semblable aux êtres humains. Reconnu comme un simple homme, il s'est humilié lui-même en faisant preuve d’obéissance jusqu'à la mort, même la mort sur la croix. C'est aussi pourquoi Dieu l'a élevé à la plus haute place et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom afin qu'au nom de Jésus chacun plie le genou dans le ciel, sur la terre et sous la terre et que toute langue reconnaisse que Jésus-Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. Ainsi, mes bien-aimés, vous qui avez toujours obéi, non seulement quand j'étais présent, mais bien plus encore maintenant que je suis absent, mettez en œuvre votre salut avec crainte et profond respect. En effet, c'est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire pour son projet bienveillant. Faites tout sans murmures ni contestations afin d'être irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans défaut au milieu d'une génération perverse et corrompue. C’est comme des flambeaux dans le monde que vous brillez parmi eux en portant la parole de vie. Je pourrai alors être fier, le jour de Christ, de n'avoir pas couru ni travaillé pour rien. Et même si mon sang doit couler pour le sacrifice et le service de votre foi, j’en suis heureux et je me réjouis avec vous tous. Vous aussi, soyez de même heureux et réjouissez-vous avec moi. J'espère dans le Seigneur Jésus vous envoyer bientôt Timothée afin d'être moi-même encouragé par les nouvelles que j’aurai de vous, car je n'ai personne qui partage mes sentiments pour prendre vraiment votre situation à cœur. Tous, en effet, cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ. Vous savez que Timothée a fait ses preuves en se consacrant au service de l'Evangile avec moi comme un enfant avec son père. J'espère donc vous l'envoyer dès que je serai au clair sur ma situation. Et j'ai confiance dans le Seigneur que moi aussi, je viendrai bientôt. J'ai cependant estimé nécessaire de vous renvoyer mon frère Epaphrodite, mon collaborateur et mon compagnon de combat, que vous aviez envoyé afin de pourvoir à mes besoins. Il désirait vous revoir tous et se tourmentait parce que vous aviez appris sa maladie. Il a été malade en effet, tout près de la mort, mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui mais aussi de moi, afin que je n'aie pas tristesse sur tristesse. Je m’empresse donc de le renvoyer pour que vous puissiez vous réjouir de le revoir et que je sois moi-même moins triste. Accueillez-le dans le Seigneur avec une joie sans réserve et ayez de l’estime pour de tels hommes. En effet, c'est pour l'œuvre de Christ qu'il a été près de la mort; il a risqué sa vie afin de vous remplacer dans le service que vous ne pouviez pas me rendre.

Philippiens 2:1-30 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)

Si donc il y a quelque consolation en Christ, s’il y a quelque soulagement dans la charité, s’il y a quelque union d’esprit, s’il y a quelque compassion et quelque miséricorde, rendez ma joie parfaite, ayant un même sentiment, un même amour, une même âme, une même pensée. Ne faites rien par esprit de parti ou par vaine gloire, mais que l’humilité vous fasse regarder les autres comme étant au-dessus de vous-mêmes. Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres. Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ, lequel, existant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à arracher d’être égal avec Dieu, mais s’est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes; et ayant paru comme un simple homme, il s’est humilié lui-même, se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, afin qu’au nom de Jésus tout genou fléchisse dans les cieux, sur la terre et sous la terre, et que toute langue confesse que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père. Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent; car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir. Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irrépréhensibles au milieu d’une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde, portant la parole de vie; et je pourrai me glorifier, au jour de Christ, de n’avoir pas couru en vain ni travaillé en vain. Et même si je sers de libation pour le sacrifice et pour le service de votre foi, je m’en réjouis, et je me réjouis avec vous tous. Vous aussi, réjouissez-vous de même, et réjouissez-vous avec moi. J’espère dans le Seigneur Jésus vous envoyer bientôt Timothée, afin d’être encouragé moi-même en apprenant ce qui vous concerne. Car je n’ai personne ici qui partage mes sentiments, pour prendre sincèrement à cœur votre situation; tous, en effet, cherchent leurs propres intérêts, et non ceux de Jésus-Christ. Vous savez qu’il a été mis à l’épreuve, en se consacrant au service de l’Évangile avec moi, comme un enfant avec son père. J’espère donc vous l’envoyer dès que j’apercevrai l’issue de l’état où je suis; et j’ai cette confiance dans le Seigneur que moi-même aussi j’irai bientôt. J’ai estimé nécessaire de vous envoyer mon frère Épaphrodite, mon compagnon d’œuvre et de combat, par qui vous m’avez fait parvenir de quoi pourvoir à mes besoins. Car il désirait vous voir tous, et il était fort en peine de ce que vous aviez appris sa maladie. Il a été malade, en effet, et tout près de la mort; mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, afin que je n’eusse pas tristesse sur tristesse. Je l’ai donc envoyé avec d’autant plus d’empressement, afin que vous vous réjouissiez de le revoir, et que je sois moi-même moins triste. Recevez-le donc dans le Seigneur avec une joie entière, et honorez de tels hommes. Car c’est pour l’œuvre de Christ qu’il a été près de la mort, ayant exposé sa vie afin de suppléer à votre absence dans le service que vous me rendiez.

Philippiens 2:1-30 Bible en français courant (BFC)

Votre union avec le Christ vous donne-t-elle du courage? Son amour vous apporte-t-il du réconfort? Êtes-vous en communion avec le Saint-Esprit? Avez-vous de l'affection et de la bonté les uns pour les autres? Alors, rendez-moi parfaitement heureux en vous mettant d'accord, en ayant un même amour, en étant unis de cœur et d'intention. Ne faites rien par esprit de rivalité ou par désir inutile de briller, mais, avec humilité, considérez les autres comme supérieurs à vous-mêmes. Que personne ne recherche son propre intérêt, mais que chacun de vous pense à celui des autres. Comportez-vous entre vous comme on le fait quand on connaît Jésus-Christ: Il possédait depuis toujours la condition divine, mais il n'a pas voulu demeurer de force l'égal de Dieu. Au contraire, il a de lui-même renoncé à tout ce qu'il avait et il a pris la condition de serviteur. Il est devenu homme parmi les hommes, il a été reconnu comme homme; il a choisi de vivre dans l'humilité et s'est montré obéissant jusqu'à la mort, la mort sur une croix. C'est pourquoi Dieu l'a élevé à la plus haute place et lui a donné le nom supérieur à tout autre nom. Il a voulu que, pour honorer le nom de Jésus, tous les êtres, dans les cieux, sur la terre et sous la terre, se mettent à genoux, et que tous proclament, à la gloire de Dieu le Père: «Jésus-Christ est le Seigneur!». Ainsi, mes chers amis, vous m'avez toujours obéi quand je me trouvais auprès de vous. Eh bien, faites-le encore plus maintenant que je suis absent. Menez à bien votre salut humblement, avec respect, car Dieu agit parmi vous, il vous rend capables de vouloir et de réaliser ce qui est conforme à son propre plan. Faites tout sans plaintes ni contestations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu sans défaut au milieu des gens faux et mauvais de ce monde. Vous devez briller parmi eux comme les étoiles dans le ciel, en leur présentant le message de vie. Ainsi, je pourrai être fier de vous au jour de la venue du Christ, car mon travail et ma peine n'auront pas été inutiles. Peut-être mon sang va-t-il être versé, comme une offrande ajoutée au sacrifice que votre foi présente à Dieu. Si tel doit être le cas, j'en suis heureux et vous associe tous à ma joie. De même, vous aussi vous devez être heureux et m'associer à votre joie. Avec confiance dans le Seigneur Jésus, j'ai bon espoir de vous envoyer bientôt Timothée, afin d'être réconforté moi-même par les nouvelles que j'aurai de vous. Il est le seul à prendre part à mes préoccupations et à se soucier réellement de vous. Tous les autres s'inquiètent seulement de leurs affaires personnelles et non de la cause de Jésus-Christ. Vous savez vous-mêmes comment Timothée a donné des preuves de sa fidélité: comme un fils avec son père, il s'est activé avec moi au service de la Bonne Nouvelle. J'espère vous l'envoyer dès que je serai au clair sur ma situation; et j'ai la certitude, fondée dans le Seigneur, que j'irai moi-même vous voir bientôt. J'ai estimé nécessaire de vous renvoyer notre frère Épaphrodite, mon compagnon de travail et de combat, lui que vous m'aviez envoyé pour m'apporter l'aide dont j'avais besoin. Il désire beaucoup vous revoir tous et il est préoccupé parce que vous avez appris sa maladie. Il a été malade, en effet, et bien près de mourir; mais Dieu a eu pitié de lui, et non seulement de lui, mais aussi de moi, pour que je n'éprouve pas une tristesse encore plus grande. Je me sens donc d'autant plus pressé de vous l'envoyer, afin que vous vous réjouissiez de le revoir et que ma propre tristesse disparaisse. Ainsi, accueillez-le avec une joie entière, comme un frère dans le Seigneur. Vous devez avoir de l'estime pour des hommes tels que lui, car il a été près de mourir pour l'œuvre du Christ: il a risqué sa vie pour m'apporter l'aide que vous ne pouviez pas m'apporter vous-mêmes.