Ruth 4:1-7
Ruth 4:1-7 Bible J.N. Darby (JND)
*Et Boaz monta à la porte, et s’assit là. Et voici, celui qui avait le droit de rachat, [et] dont Boaz avait parlé, vint à passer ; et il dit : Toi, un tel, détourne-toi, assieds-toi ici. Et il se détourna et s’assit. Et [Boaz] prit dix hommes des anciens de la ville, et dit : Asseyez-vous ici. Et ils s’assirent. Et il dit à celui qui avait le droit de rachat : Naomi, qui est revenue des champs de Moab, vend la pièce de terre qui était à notre frère Élimélec. Et moi, je me suis dit : Je t’en informerai, et je te dirai : Achète-la en la présence des habitants et en la présence des anciens de mon peuple. Si tu veux racheter, rachète ; et si tu ne veux pas racheter, déclare-le-moi, afin que je le sache ; car il n’y a personne que toi pour racheter, et moi je suis après toi. Et il dit : Je rachèterai. Et Boaz dit : Au jour où tu achèteras le champ de la main de Naomi, tu l’achèteras aussi de Ruth, la Moabite, femme du défunt, pour relever le nom du défunt sur son héritage. Et celui qui avait le droit de rachat dit : Je ne puis pas le racheter pour moi, de peur que je ne ruine mon héritage ; use, toi, de mon droit de rachat, car je ne puis racheter. Or c’était jadis [une coutume] en Israël, en cas de rachat et d’échange, que, pour confirmer toute affaire, l’un ôtait sa sandale et la donnait à l’autre ; c’était là une coutume en Israël.
Ruth 4:1-7 Parole de Vie 2017 (PDV2017)
Booz va à l’entrée du village, là où on discute des affaires. Il s’assoit. Booz a parlé à Ruth d’un parent très proche d’Élimélek. Cet homme passe justement par là. Booz lui dit : « Arrête-toi ! Viens t’asseoir ici. » L’homme s’arrête et il s’assoit. Alors Booz demande à dix anciens du village de s’asseoir avec eux. Ils s’assoient. Ensuite, Booz dit à cet autre parent d’Élimélek : « Noémi est revenue du pays de Moab, tu le sais. Eh bien, elle va vendre le champ qui était à notre frère Élimélek. Moi, j’ai décidé de t’en parler devant les anciens et devant tous ceux qui sont là. Si tu veux racheter ce champ, rachète-le. Si tu ne veux pas, dis-le-moi. En effet, c’est toi le premier qui as le droit de racheter, et moi le deuxième. » L’homme dit : « Je veux bien racheter le champ. » Booz dit : « Si tu achètes le champ à Noémi, tu dois aussi prendre pour femme Ruth la Moabite. Ainsi, la propriété du champ restera dans la famille de son mari mort . » L’homme répond : « Dans ce cas, je ne peux pas. En effet, je risque de diminuer ma propriété. Donc, prends pour toi le droit de racheter. Moi, je ne peux pas. » Autrefois, en Israël, quand des hommes achetaient ou échangeaient quelque chose, l’un des deux enlevait sa sandale et il la donnait à l’autre. Ce geste montrait que l’affaire était réglée.
Ruth 4:1-7 Nouvelle Edition de Genève 1979 (NEG79)
Boaz monta à la porte, et s'y arrêta. Or voici, celui qui avait droit de rachat, et dont Boaz avait parlé, vint à passer. Boaz lui dit: Approche, reste ici, toi un tel. Et il s'approcha, et s'arrêta. Boaz prit alors dix hommes parmi les anciens de la ville, et il dit: Asseyez-vous ici. Et ils s'assirent. Puis il dit à celui qui avait le droit de rachat: Naomi, revenue du pays de Moab, a vendu la parcelle de terre qui appartenait à notre frère Elimélec. J'ai cru devoir t'en informer, et te dire: Acquiers-la, en présence des habitants et en présence des anciens de mon peuple. Si tu veux racheter, rachète; mais si tu ne veux pas, déclare-le-moi, afin que je le sache. Car il n'y a personne avant toi qui ait le droit de rachat, et je l'ai après toi. Et il répondit: je rachèterai. Boaz dit: Le jour où tu acquerras le champ de la main de Naomi, tu l'acquerras en même temps de Ruth la Moabite, femme du défunt, pour relever le nom du défunt dans son héritage. Et celui qui avait le droit de rachat répondit: Je ne puis pas racheter pour mon compte, de peur de détruire mon héritage; prends pour toi mon droit de rachat, car je ne puis pas racheter. Autrefois en Israël, pour valider une affaire quelconque relative à un rachat ou à un échange, l'un ôtait son soulier et le donnait à l'autre: cela servait de témoignage en Israël.
Ruth 4:1-7 La Bible du Semeur 2015 (BDS)
Booz se rendit à la porte de la ville, et il y prit place. Quand le plus proche parent, dont il avait parlé et qui avait le devoir de s’occuper de Ruth vint à passer, Booz lui dit : Un tel ! Viens donc t’asseoir ici ! L’homme s’approcha et s’assit. Booz fit approcher dix hommes parmi les responsables de la ville et leur demanda de s’asseoir avec eux. Lorsqu’ils se furent installés, il s’adressa ainsi au plus proche parent : Noémi, qui est revenue du pays de Moab, met en vente le champ d’Elimélek, notre parent. J’ai pensé t’en informer et te proposer de le racheter par-devant les habitants de la ville et les responsables de mon peuple ici présents. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le. Sinon, déclare-le-moi, que je le sache, car tu viens en premier lieu pour disposer du droit de rachat, et je viens directement après toi. L’homme lui répondit : Oui, je veux le racheter. Booz poursuivit : Si tu acquiers le champ de la main de Noémi, tu prendras pour femme Ruth la Moabite, la veuve du défunt, pour donner au défunt une descendance qui héritera de son patrimoine. – Dans ces conditions, dit le plus proche parent, je ne peux pas racheter pour mon compte, car je ferais tort à mon propre patrimoine. Reprends donc à ton compte mon droit de rachat, car je ne puis en profiter moi-même. Autrefois, en Israël, lorsqu’on procédait à un rachat ou à un échange de biens, la coutume voulait que l’un des contractants ôte sa sandale et la donne à l’autre pour valider la transaction.
Ruth 4:1-7 La Bible Segond 21 (S21)
Boaz monta à la porte de la ville et s'y arrêta. Or, celui qui avait droit de rachat et dont Boaz avait parlé vint à passer. Boaz lui dit: «Approche-toi, assieds-toi ici, toi un tel.» Il s'approcha et s'assit. Boaz prit alors dix hommes parmi les anciens de la ville et dit: «Asseyez-vous ici.» Ils s'assirent. Puis il dit à celui qui avait le droit de rachat: «Naomi est revenue du pays de Moab, et elle vend la parcelle de terre qui appartenait à notre frère Elimélec. J'ai cru devoir t'en informer et te dire: ‘Fais-en l'acquisition devant les habitants de la ville et les anciens de mon peuple.’ Si tu veux la racheter, rachète-la, mais si tu ne veux pas, déclare-le-moi afin que je le sache. En effet, il n'y a personne avant toi qui ait le droit de rachat et je l'ai après toi.» Il répondit: «Je la rachèterai.» Boaz dit: «Le jour où tu achèteras le champ à Naomi, tu l'acquerras aussi de Ruth la Moabite, la femme du défunt, et tu devras maintenir le nom du défunt sur son héritage.» Celui qui avait le droit de rachat répondit: «Je ne peux pas exercer ce droit de rachat pour mon compte, sinon je détruirai mon héritage. Prends pour toi mon droit de rachat, car je ne peux pas l'exercer.» Autrefois en Israël, pour valider toute affaire relative à un rachat ou à un échange, on retirait sa sandale et on la donnait à l'autre: c'était ce geste qui servait d'attestation en Israël.
Ruth 4:1-7 La Sainte Bible par Louis Segond 1910 (LSG)
Boaz monta à la porte, et s’y arrêta. Or voici, celui qui avait droit de rachat, et dont Boaz avait parlé, vint à passer. Boaz lui dit: Approche, reste ici, toi un tel. Et il s’approcha, et s’arrêta. Boaz prit alors dix hommes parmi les anciens de la ville, et il dit: Asseyez-vous ici. Et ils s’assirent. Puis il dit à celui qui avait le droit de rachat: Naomi, revenue du pays de Moab, a vendu la pièce de terre qui appartenait à notre frère Élimélec. J’ai cru devoir t’en informer, et te dire: Acquiers-la, en présence des habitants et en présence des anciens de mon peuple. Si tu veux racheter, rachète; mais si tu ne veux pas, déclare-le-moi, afin que je le sache. Car il n’y a personne avant toi qui ait le droit de rachat, et je l’ai après toi. Et il répondit: je rachèterai. Boaz dit: Le jour où tu acquerras le champ de la main de Naomi, tu l’acquerras en même temps de Ruth la Moabite, femme du défunt, pour relever le nom du défunt dans son héritage. Et celui qui avait le droit de rachat répondit: Je ne puis pas racheter pour mon compte, crainte de détruire mon héritage; prends pour toi mon droit de rachat, car je ne puis pas racheter. Autrefois en Israël, pour valider une affaire quelconque relative à un rachat ou à un échange, l’un ôtait son soulier et le donnait à l’autre: cela servait de témoignage en Israël.
Ruth 4:1-7 Bible en français courant (BFC)
Booz se rendit à la porte de la localité, et s'assit. Le plus proche parent d'Élimélek, celui dont Booz avait parlé à Ruth, passa justement par là. Booz l'appela: «Viens t'asseoir ici», lui dit-il. C'est ce que fit l'homme. Booz demanda alors à dix des anciens de la localité de s'installer avec eux. Lorsqu'ils eurent pris place, il déclara au parent d'Élimélek: «Tu sais que Noémi est revenue du pays de Moab. Eh bien, elle met en vente le champ qui appartenait à Élimélek, notre parent. J'ai décidé de t'en informer et de te proposer de l'acheter devant les anciens et les autres personnes ici présentes. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le, sinon préviens-moi, car c'est à moi que ce droit revient tout de suite après toi.» L'homme dit: «Je veux bien acheter le champ.» Booz reprit: «Si tu achètes le champ à Noémi, tu devras en même temps prendre pour femme Ruth, la Moabite, pour que la propriété du champ reste dans la famille de son mari décédé.» L'homme répondit: «Dans ces conditions, j'y renonce, pour ne pas porter atteinte à mes propres biens. Reprends à ton compte mon droit de rachat, car je ne peux vraiment pas l'exercer moi-même.» Autrefois en Israël, quand des gens achetaient des biens ou échangeaient un droit de propriété, l'une des personnes ôtait sa sandale et la donnait à l'autre pour conclure le marché. Ce geste prouvait que l'affaire était réglée.