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Ruth 4:1-7

Ruth 4:1-7 La Bible du Semeur 2015 (BDS)

Booz se rendit à la porte de la ville, et il y prit place. Quand le plus proche parent, dont il avait parlé et qui avait le devoir de s’occuper de Ruth vint à passer, Booz lui dit : Un tel ! Viens donc t’asseoir ici ! L’homme s’approcha et s’assit. Booz fit approcher dix hommes parmi les responsables de la ville et leur demanda de s’asseoir avec eux. Lorsqu’ils se furent installés, il s’adressa ainsi au plus proche parent : Noémi, qui est revenue du pays de Moab, met en vente le champ d’Elimélek, notre parent. J’ai pensé t’en informer et te proposer de le racheter par-devant les habitants de la ville et les responsables de mon peuple ici présents. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le. Sinon, déclare-le-moi, que je le sache, car tu viens en premier lieu pour disposer du droit de rachat, et je viens directement après toi. L’homme lui répondit : Oui, je veux le racheter. Booz poursuivit : Si tu acquiers le champ de la main de Noémi, tu prendras pour femme Ruth la Moabite, la veuve du défunt, pour donner au défunt une descendance qui héritera de son patrimoine. – Dans ces conditions, dit le plus proche parent, je ne peux pas racheter pour mon compte, car je ferais tort à mon propre patrimoine. Reprends donc à ton compte mon droit de rachat, car je ne puis en profiter moi-même. Autrefois, en Israël, lorsqu’on procédait à un rachat ou à un échange de biens, la coutume voulait que l’un des contractants ôte sa sandale et la donne à l’autre pour valider la transaction.

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Ruth 4:1-7 Bible en français courant (BFC)

Booz se rendit à la porte de la localité, et s'assit. Le plus proche parent d'Élimélek, celui dont Booz avait parlé à Ruth, passa justement par là. Booz l'appela: «Viens t'asseoir ici», lui dit-il. C'est ce que fit l'homme. Booz demanda alors à dix des anciens de la localité de s'installer avec eux. Lorsqu'ils eurent pris place, il déclara au parent d'Élimélek: «Tu sais que Noémi est revenue du pays de Moab. Eh bien, elle met en vente le champ qui appartenait à Élimélek, notre parent. J'ai décidé de t'en informer et de te proposer de l'acheter devant les anciens et les autres personnes ici présentes. Si tu veux exercer ton droit de rachat, fais-le, sinon préviens-moi, car c'est à moi que ce droit revient tout de suite après toi.» L'homme dit: «Je veux bien acheter le champ.» Booz reprit: «Si tu achètes le champ à Noémi, tu devras en même temps prendre pour femme Ruth, la Moabite, pour que la propriété du champ reste dans la famille de son mari décédé.» L'homme répondit: «Dans ces conditions, j'y renonce, pour ne pas porter atteinte à mes propres biens. Reprends à ton compte mon droit de rachat, car je ne peux vraiment pas l'exercer moi-même.» Autrefois en Israël, quand des gens achetaient des biens ou échangeaient un droit de propriété, l'une des personnes ôtait sa sandale et la donnait à l'autre pour conclure le marché. Ce geste prouvait que l'affaire était réglée.

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