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Ézékiel 1:4-28

Ézékiel 1:4-28 PDV2017

Voici ce que j’ai vu : un vent violent vient du nord. Il amène un gros nuage entouré de lumière. Des éclairs en sortent de tous côtés. Son centre est en flammes, il brille comme de l’or rougi au feu. Au milieu, on dirait quatre êtres vivants. Ils ressemblent à des hommes. Chacun a quatre visages et quatre ailes. Leurs jambes sont droites, leurs pieds ressemblent aux sabots d’un veau et ils brillent comme du bronze poli. Sous chaque aile, il y a une main humaine. Leurs mains sont tournées dans les quatre directions comme leurs visages et leurs ailes. Les bouts de leurs ailes se touchent. Chacun avance droit devant soi sans se retourner. Chaque être a quatre visages : un visage humain devant, un visage de lion à droite, un visage de taureau à gauche et un visage d’aigle derrière. Deux de leurs ailes sont étendues vers le haut et elles se rejoignent, les deux autres ailes couvrent leurs corps. Chacun avance droit devant soi. Ils vont là où ils veulent, sans se retourner. Entre les êtres vivants, on aperçoit quelque chose qui ressemble à des braises dans le feu. C’est comme des torches qui bougent sans arrêt. Le feu brille, et des éclairs en jaillissent. Les êtres vivants vont et viennent aussi vite que les éclairs. Je les regarde et je vois une roue à terre à côté de chaque être vivant. Ces roues brillent comme une pierre précieuse. Elles ont toute la même forme. Elles fonctionnent comme si une roue se trouvait au milieu de l’autre. Elles peuvent avancer dans les quatre directions sans tourner sur elles-mêmes. Elles forment un cercle immense qui fait peur et elles sont couvertes de points brillants tout autour. Quand les êtres avancent, les roues avancent à côté d’eux, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, elles s’élèvent aussi. Ils vont là où ils veulent, et les roues avancent en même temps qu’eux. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues. Quand ils avancent, elles avancent, quand ils s’arrêtent, elles s’arrêtent, quand ils s’élèvent au-dessus de la terre, les roues s’élèvent aussi. En effet, la volonté des êtres fait marcher les roues. Au-dessus des têtes des êtres vivants, il y a quelque chose qui ressemble à un toit aussi brillant que le cristal. Sous ce toit, chaque être a deux ailes dressées l’une vers l’autre. Les deux autres ailes couvrent son corps. J’entends le bruit de leurs ailes quand ils avancent. Ce bruit ressemble au grondement de la mer, au tonnerre, la voix du Tout-Puissant, ou au bruit d’une armée nombreuse. Quand les êtres vivants s’arrêtent, ils replient leurs ailes. Au-dessus du toit qui domine leurs têtes, on entend aussi du bruit. Là, on voit comme une pierre de saphir qui a la forme d’un siège de roi. Sur cette sorte de siège, tout en haut, il y a une forme qui ressemble à un être humain. Je vois cette forme briller comme du métal poli, elle paraît entourée de feu. Au-dessus et au-dessous de ce qui ressemble à sa taille, je vois quelque chose comme du feu qui l’éclaire de tous côtés. La lumière qui l’entoure ressemble à celle de l’arc-en-ciel qui brille dans les nuages un jour de pluie. C’est le reflet de la gloire du SEIGNEUR. J’ai vu tout cela, je me suis mis à genoux, le front contre le sol. Alors j’ai entendu quelqu’un qui me parlait.

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