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Ésaïe 7:10-25

Ésaïe 7:10-25 PDV2017

Le SEIGNEUR a encore parlé au roi Akaz : « Demande au SEIGNEUR ton Dieu de te donner un signe au fond du monde des morts, ou bien là-haut dans le ciel. » Mais Akaz a répondu : « Non, je ne demanderai rien, je ne veux pas provoquer le SEIGNEUR. » Alors Ésaïe a dit : « Écoutez donc, vous qui êtes de la famille du roi David ! Vous fatiguez les gens, et on dirait que cela ne vous suffit pas. Vous fatiguez aussi mon Dieu ! Eh bien, le Seigneur lui-même vous donnera un signe : la jeune femme sera enceinte et elle mettra au monde un fils. Elle l’appellera Emmanuel, c’est-à-dire Dieu-avec-nous. Il se nourrira de crème et de miel, jusqu’au moment où il saura rejeter le mal et choisir le bien. Maintenant, tu as peur des rois de Syrie et d’Israël. Pourtant, avant que cet enfant soit capable de rejeter le mal et de choisir le bien, les habitants de ces deux royaumes auront abandonné leur pays. Mais le SEIGNEUR enverra des jours de malheur contre toi, contre ton peuple et contre ta famille. Il n’y a pas eu de jours semblables depuis que le royaume d’Israël s’est séparé du royaume de Juda. Cela arrivera par l’intermédiaire du roi d’Assyrie. » Un jour, le SEIGNEUR, d’un coup de sifflet, fera venir les mouches qui sont dans la région où le Nil se jette dans la mer, et les abeilles qui sont en Assyrie. Toutes viendront se poser dans les ravins pierreux, dans les fentes des rochers, dans tous les buissons et à tous les points d’eau. Ce jour-là, le Seigneur se procurera un rasoir de l’autre côté du fleuve Euphrate. – Il s’agit du roi d’Assyrie. – Oui, il vous rasera la tête, tous les poils du corps et même vos barbes . Ce jour-là aussi, chacun élèvera une vache et deux chèvres. Elles donneront tant de lait qu’on pourra manger de la crème. Oui, tous ceux qui seront restés dans le pays se nourriront de crème et de miel. Ce jour-là encore, un champ de mille plants de vigne valant mille pièces d’argent, sera abandonné aux buissons d’épines. Tout le pays en sera couvert, et des gens viendront y chasser avec un arc et des flèches. Par peur des buissons d’épines, personne n’ira plus sur les collines qu’on cultivait avec la houe. Ce sera un pâturage pour les bœufs et un parc à moutons.