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Ésaïe 16:4-14

Ésaïe 16:4-14 PDV2017

Laisse nos réfugiés habiter chez toi, offre-leur un abri contre le destructeur. Celui qui nous écrase ne vivra pas toujours, les destructions vont s’arrêter. Celui qui nous détruit va quitter notre pays. Alors, grâce à ta bonté, le pouvoir du roi sera solidement établi. Il dirigera le royaume de David avec fidélité. Il sera comme un juge attentif au respect des lois et ardent pour faire justice. » Nous avons entendu parler de l’orgueil de Moab. Quel orgueil immense ! Quel mépris ! Quelle assurance ! Quelle prétention ! Mais ce qu’il dit est creux. Maintenant, les Moabites pleurent sur Moab, tout le monde pleure. Ils gémissent en regrettant les gâteaux de raisin qu’on faisait à Quir-Hérès. Ils sont complètement découragés. Les plantations de Hèchebon sont sans vie, comme les vignes de Sibma. Avant, le vin de ces vignes rendait ivres les maîtres des peuples. Elles s’étendaient jusqu’à Yazer, elles poussaient un peu partout dans le désert, leurs branches s’étendaient au-delà de la mer Morte. C’est pourquoi je pleure avec les gens de Yazer sur les vignes de Sibma. Je vais vous arroser de mes larmes, toi, Hèchebon et toi, Élalé. En effet, un cri de guerre est tombé sur votre raisin, sur votre récolte. La joie débordante a disparu de vos plantations d’arbres fruitiers. Dans les vignes, on n’entend plus ni chants ni cris de joie. Plus personne n’écrase le vin dans les cuves, il n’y a plus de cris rythmés. C’est pourquoi mon cœur pleure sur Moab. Ma plainte est comme un air de harpe. Je gémis sur Quir-Hérès. On voit le peuple de Moab se fatiguer pour aller sur les hauteurs. Il entre dans son lieu sacré pour prier, mais cela ne sert à rien. Voilà la parole que le SEIGNEUR a dite autrefois au sujet de Moab. Et maintenant, le SEIGNEUR annonce : « Dans trois ans exactement, les grands de Moab et ses nombreux habitants ne représenteront plus rien. Ceux qui resteront seront peu de chose, très peu de chose, rien d’important. »